Cinq leçons de Psychanalyse, Freud
Fiche de lecture : Cinq leçons de Psychanalyse, Freud. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Abdou Gentil • 20 Mai 2017 • Fiche de lecture • 823 Mots (4 Pages) • 2 816 Vues
Quatrième leçon
Dans la quatrième leçon du texte « Cinq leçons de psychanalyse » écrit en 1909 , Sigmund Freud nous parle des complexes pathogènes , les symptômes morbides sont liés a la sexualité , la sexualité infantile, l'auto-érotisme et la libido et son évolution , la Perversion sexuelle et le complexe d'oedipe.
Une des premières choses que la psychanalyse a mise en évidence est que les pulsions morbides sont très fréquemment liées à la vie amoureuse des patients et Freud soutient que la cause de la névrose est une perturbation sexuelle ou de libido Malgré l’opposition de ses contemporains , c’était asse délicat de le croire mais après de nombreuse expériences thérapeutique notamment avec le professeur Breuer ,Freud a fini par convaincre ses amis et ses partisans fidèle que la sexualité joue un rôle fondamentale dans l’équilibre psychique , mais malgré sa Freud avait toujours des difficultés pour mettre en œuvre ses expériences à cause d’une hypocrisie généralisé avec ses patients sur tout ce qui concerne la sexualité sur tous les hommes qui n’admettent pas et ne sont pas sincères et se protègent avec un tissu de moussage .Freud continue ses expériences et son traitement psychanalytique , il arrive enfin à découvrir la réalité de la sexualité humaines en remontant jusqu’à la période de la puberté de l’enfance , c’est les désires inéluctables et refoulé qui provoque la maladie ultérieure .
Puis Freud consacre c’est recherche a démontré que la sexualité est présente dès l’enfance et après plusieurs expériences par lui-même et par Jung il finit par affirmé l’existence de la sexualité dès l’enfance autrement dite la sexualité infantile .l’enfant n’a pas de libido et ne cherche pas à se reproduire mais cherche à se faire du plaisir à travers son comme se touché l’anus ou l’utérus et ressentir des sensations agréables , donc la pulsion sexuelle chez l’enfant est auto-érotique par l’exploration des zones érogène du corps . Freud n’hésite pas à dire que l’enfant expérimente déjà des instincts qui se présentent par groupes de deux (actif-passif) : le plaisir de faire souffrir (sadisme) et son opposé (masochisme), le plaisir de voir et de s’exhiber. Il dit même qu’on peut sans crainte attribuer à chaque enfant une « légère disposition à l’homosexualité » car le choix de cette personne étrangère se base sur l’instinct de conservation peu importe le sexe , et ce n’est qu’à la fin de la puberté que la sexualité change pour se soumettre au processus de normalisation et devenir centrée autour de la génitalité et de la reproduction : à ce stade la sexualité se base sur la vie amoureuse et l’instinct sexuelle dépend de la personnel aimé , ce désir éprouvé pour une personne extérieure chasse l’autoérotisme, au même temps Freud établie une relation entre cette vie sexuelle et l’éducation reçus qui va impliqué des refoulement de certains tendance naturellement présenter en l’homme et des puissances psychiques comme le dégout ou la honte , et dès que la puberté arrive « la grande marée des besoin sexuelle » elle oblige de suivre des voies normales et nous empêchent d’animé des plaisirs qui pouvait existé en enfance mais qui au stade de la vie adulte suscitent le dégout comme la coprophilie
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