Politique d'immigration et statistiques
Étude de cas : Politique d'immigration et statistiques. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Looraaine • 7 Décembre 2014 • Étude de cas • 916 Mots (4 Pages) • 760 Vues
L'immigration, désigne aujourd'hui l'entrée, dans un pays, de personnes étrangères qui y viennent pour y séjourner ou s'y installer. Le mot immigration vient du latin in-migrare qui signifie « rentrer dans un lieu ». Elle correspond, vue du côté du pays de départ, à l'émigration.
Dans le cas des frontaliers, les migrations peuvent être quotidiennes.
Jeunesse à Oslo, en Norvège. La plupart des immigrés vivent dans les grandes villes. À Oslo, plus de 27 % des habitants sont d'origine immigrée.
Sommaire [masquer]
1 Histoire
2 Raisons
3 Politique d'immigration et données statistiques
3.1 Données générales
3.2 Flux d'immigration actuels par pays
3.3 Afrique du Sud
3.4 Allemagne
3.5 Argentine
3.6 Australie
3.7 Canada
3.8 Espagne
3.9 États-Unis
3.10 Europe
3.11 France
3.12 Italie
3.13 Pays-Bas
3.14 Royaume-Uni
3.15 Russie
3.16 Suède
3.17 Suisse
4 Immigration clandestine
5 Immigration et criminalité
6 Notes et références
7 Voir aussi
7.1 Bibliographie
7.2 Articles connexes
7.3 Revues spécialisées
7.4 Liens externes
Histoire[modifier | modifier le code]
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Avant l'apparition des moyens de locomotion mécaniques modernes (train, voiture, avion, etc.) les migrations furent essentiellement régionales, les registres paroissiaux en France démontrent que les origines des immigrés de chaque village ne dépassèrent guère un rayon de quinze kilomètres. Le mode de vie sédentaire impose généralement un espace de vie d'un rayon de 7 km : jusqu'au début du xixe siècle pour une grande partie de la population, ayant pour seul mode de transport la marche, la vie se déroulait entièrement dans cet espace. Les échanges de produits se font alors de proche en proche, 90 % des biens disponibles étant produits dans un rayon de 7 km. Cette référence contribue aux premiers découpages politiques en France. À la fin du xviiie siècle, le découpage du territoire français en communes tient compte de la distance parcourue à pied en une journée. À l'époque, on parlait même parfois d'immigré quand une personne venait du village voisin le plus proche, les mariages inter-villages étant alors mal vus. Avec la Révolution industrielle et l'apparition de nouveaux États (États-Unis, Allemagne, Italie), l'immigration fait plus référence aux nationalité et de diaspora, comme la Polonia qui émigre dans les mines de charbon de la Rhur allemande. Elle est parfois organisée à grande-échelle comme en France au début des années 1920, quand la pénurie de main-d'œuvre touche des secteurs aussi divers que l'acier, le charbon, l'automobile et l'armement, avec des lois l'encourageant et la création en 1924 de la Société générale d’immigration.
Raisons[modifier |
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