Les " choses " de George Pepper
Commentaire d'oeuvre : Les " choses " de George Pepper. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar parisien31 • 31 Mars 2015 • Commentaire d'oeuvre • 329 Mots (2 Pages) • 697 Vues
Autrefois, les gens ne consommaient que ce dont ils avaient vraiment besoin pour
vivre au quotidien. De nos jours, les produits proposés sont variés et multiples, la notion vital
n’y trouve plus son sens.
Nous pouvons donc nous demander quels sont les modes actuels de consommation
et quelles en sont les raisons.
Afin de pallier à cette question nous avons à notre disposition un corpus composé de
4 textes. Une partie du roman de Georges PEREC intitulé Les choses, écrit en 1965 qui est
un texte narratif. Un document iconographique représentant la publicité pour Nike en 1988.
Deux documents argumentatifs, l’article d’Emmanuel KESSLER édité par le site franceinfo.fr
en 2008 intitulé « Le prix, ça fait aussi partie du rêve » et le texte en provenance du site
philophil.com dont le titre est « Représentation et communication publicitaire ».
Pour répondre à la problématique, nous commencerons par énoncer le constat sur le
mode de consommation actuel, nous poursuivrons en expliquant quelles sont les nouvelles
priorités et nous énoncerons les raisons de ces changements.
Tout d’abord ce ne sont plus les qualités d’un produit qui sont mises en avant mais
ses valeurs qui véhiculent le rêve.
Le document du site philophil.com nous indique en expliquant que l’univers autour de
l’objet doit le symboliser fortement, créer son unicité. Cet avis est complété par la publicité
de Nike car nous ne voyons pas le produit mais seulement la marque qui représente le bien
de consommation. Emmanuel KESSLER est également d’accord avec cet avis en nous
montrant qu’avec l’expérience réalisée sur les vins, les gens appréciaient le produit pour son
prix.
Trois des auteurs nous confirment que les priorités sont les désirs, le rêve véhiculé.
Nous avons le roman de Georges PEREC, lorsqu’il cite que le jeune couple étant dans
l’impossibilité d’acheter reste dans l’utopie. Il y a aussi le texte du site franceinfo.fr qui
exprime le fait que la consommation est définie par nos désirs. Et le texte du site
philophil.com qui nous raconte que les biens nous rendent parfaits.
Nous remarquons que la qualité n’est plus une priorité.
Ensuite, nous apprécions l’estime de soi et l’appartenance qui sont devenus
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