Le secteur automobile face à la crise de 2008

Première partie : Economie générale

Question 1 : A cause de la crise survenue en 2008, les constructeurs automobiles ne peuvent pas se permettre de trop produire. En effet, si la demande ne suit pas l'offre, il risque d'avoir une surproduction et par conséquence perte d'argent.

Question 2 : Les constructeurs automobiles ont pris un recul de production. En effet, une chute vertigineuse des ventes est constatée -19% pour les véhicules utilitaires légers, -38% pour les véhicules industrialisés en 2009.

Au premier semestre 2010, on y voit une hausse de 5% sur les voitures particulières, 11% sur les véhicules utilitaires légers mais les véhicules industrialisés continuent à diminuer -24%.

Due à ses chiffres, on peut remarquer que les acheteurs se sentent concernés par l'état atmosphérique et donc achètent des voitures qui consomment moins afin de bénéficier des seuils de bonus.

Question 3 : En constatant la marge de 7% en 2008 alors qu'elle était de 40% en 2000, il est donc évident que les pays se produisant et se fournissant en France les tirent au plus bas. Car plus un produit a un coût de revient important plus il sera vendu plus cher.

Question 4 : L'intervention de l'Etat est lié à la pollution. Ils mettent donc en œuvre une prime à la casse afin que toutes les voitures polluantes nuisent plus à l'atmosphère. Pour cela, une mise en place d'un bonus/malus pour les véhicules les plus/moins polluant est installée.

Question 5 : Les constructeurs français se sont appuyés sur des gains de part de marché en Europe et ont profité de certaines zones émergentes : 22,4% sur le marché des voitures particulières et 38,2% sur les véhicules utilitaires légers.

La part de la France dans la production mondiale est passée de 8,2% à 8,7% en 2009.

Ils ont mis en place le PFA (plateforme de la filière économique) afin de renforcer la filière des automobiles françaises, quatre priorités ont été établies : les compétences et métier de demain, une meilleure gestion de l'information et de la communication, élaboration d'une stratégie à moyen et long terme sur les produits et le développement international.

Question 6 : La commercialisation des véhicules repose sur le libre-échange. En effet, il est moins coûteux de produire ses véhicules dans un pays émergent puis de les importer en France. Le coût de revient est moins cher et la marge est plus importante.

Deuxième partie : Analyse d'une situation juridique

Premier travail :

Selon l'article L1224-1 et l'article L 1224-2, le nouvel employeur M Pinson est contraint de garder les employés travaillant déjà dans l'entreprise FLEURUS.

De plus, selon l'article L 1121-1 du code du travail, l'employeur ne peut ajouter des clauses dans les contrats engagés des employés de FLEURUS à moins qu'elles ne soient justifiables.

Concernant les employés, ils ne pourront contester la venue de leur nouvel employeur selon l'article 1134 du code civil.

Deuxième travail :

Dans le contrat de M Paul Brochant, il est indiqué dans l'article 4 « le lieu de travail de M Paul Brochant est actuellement fixé au 19 rue des Rosiers à Vernon (27 Eure).

Toutefois, pour des raisons touchant à l'organisation et ou à son fonctionnement de l'entreprise SA GALABIO, cette dernière se réserve la possibilité de le muter dans tout autre établissement de l'entreprise située en haute et basse Normandie, compte tenu des fonctions exercées par M Paul Brochant et des besoins de l'entreprise. M Paul Brochant dispose d'un délais de deux mois pour rejoindre sa nouvelle affectation.

Le refus de M Paul Brochant de rejoindre son nouveau poste s'analyserait comme une inexécution de ses obligations contractuelles pouvant entraîner son licenciement pour faute »

De plus

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