La Prolifération Des Armes Non Conventionnelles

La création d’armes modernes pendant ce dernier siècle a contribué à la destruction massive de territoires ou de populations pendant les guerres. Mais aujourd’hui le désir des nouveaux États d’obtenir l’arme nucléaire ou d’autres armes chimiques crée des conflits internationaux au sein des institutions ou traités tels que le conseil de sécurité de l’ONU ou la Convention de non-prolifération d’armes.

La Convention sur l'interdiction de la mise au point, de la fabrication, du stockage et de l'emploi des armes chimiques et sur leur destruction (encore appelée Convention sur les armes chimiques) a été ouverte à la signature en 1993. Quatre ans plus tard, en avril 1997, la Convention entrait en vigueur. La Lituanie et d’autres 195 pays membres ou signataires participent activement à contrôler la prolifération des armes dans leurs propres pays. La Convention prévoit l'inspection des installations de l'industrie afin de garantir que les produits chimiques toxiques servent uniquement à des fins non interdits par la Convention. La Convention essaie donc de contrôler l’énergie chimique afin d’éviter la prolifération des armes.

D’autres organisations ont été créées pour la surveillance du commerce des armes comme le réseau EFE, un réseau d’experts européens en armes à feu. Il a été décidé de créer ce réseau en 2004 lors de la 10ème réunion des responsables de la police européenne afin de garantir grâce aux efforts communs des pays de l’Union européenne, une lutte plus efficace contre la circulation des armes à feu. Dans le mois d’octobre de cette année, les représentants de la police lituanienne ont présidé la réunion plénière du réseau EFE. Lors de cette réunion ont été abordés les moyens de contrôle des armes sur Internet et dans les foires, la lutte contre la conversion d’armes complètement inutilisables et d’armes à gaz en armes à feu ainsi que la propagation illégale d’armes à feu sur le territoire de d’UE.

Ce type de réunions discute des cas précis comme celui qui a eu lieu des années avant : la condamnation d’un irlandais pour le trafic d’armes. L’irlandais Michael Campbell a été condamné en 2011 pour une tentative d’achat d’armes en Lituanie pour le compte de l’IRA, une association terroriste irlandaise. Ce cas a fait réagir les états contre la prévention de la prolifération d’armes. La Lituanie a donc pris des mesures et augmenté la sécurité en diminuant fortement ce type de problèmes à l’intérieur du pays.

La sécurité de l’achat d’armes a été aussi renforcée dans la relation entre la Lituanie, la Russie et le reste des anciennes républiques soviétiques. Certains de ces pays possèdent l’arme nucléaire et peuvent créer des tensions entre pays voisins. La présidente de la République de Lituanie, Dalia Grybauskaite, en visite officielle au Kazakhstan, s’est entretenue avec le président du Kazakhstan cette année lors de l’Assemblée Générale de l’ONU à New York sur les problèmes actuels de sûreté nucléaire, notamment pour les deux pays. Les deux chefs d’Etat sont parvenus à un accord sur des mesures plus efficaces à prendre dans l’arène internationale en matière des objets nucléaires. La Lituanie, ne possédant pas d’armes nucléaires, n’a pas signé dans la Convention de la non-prolifération d’armes nucléaires

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