Les nouveaux maîtres du monde: Steve Jobs et Bill Gates

Chapitre 1 - Les pionniers :

Steve Jobs et Bill Gates sont considérés comme les pionniers et modèles de l’informatique. Dans les années 70’s 80’s ils sont les visages de la révolution du marché de l’informatique, auparavant contrôlé par les grands groupes industriels tel que IBM.

Steve Jobs et Steve Wozniak créent en 1975, à Stanford, un prototype du premier ordinateur individuel destiné à un public amateur qu’ils vont nommer Apple et le commercialisent.

L’entreprise ne cesse de croître et elle devient une multinational et entre en bourse. Steve Jobs prend le contrôle de l’entreprise en incarnant la marque Apple grâce à son charisme, son génie pour le marketing et ses qualités oratoires. Il est persuadé d’être le précurseur de la révolution informatique.

Cependant, le modèle Apple fait face à un obstacle. En 1984, le Macintosh a besoin d’une interface graphique. Steve Jobs vole le concept de cacher le système d’exploitation derrière une interface graphique à Xerox et engage donc Bill Gates, fondateur de Microsoft et programmateur de génie âgé de 25 ans.

Néanmoins, la commercialisation du Macintosh est un échec car IBM géant industriel informatique, jusqu’à lors pas intéressé par l’ordinateur individuel publique sort son premier modèle en s’alliant, tout comme Steve Jobs à Bill Gates qui créée alors Windows. Ce nouveau programme de Bill Gates va alors devenir la norme pour tous les ordinateurs à travers le monde tels qu’on les connait et va propulser l’ingénieur américain à la tête de cette révolution informatique. A la suite de cet évènement, Steve Jobs qui par ailleurs n’a plus aucun poids décisionnel dans sa propre entreprise depuis son entrée en bourse démissionne d’Apple computer en 1985.

Chapitre 2 - La révolution internet :

Larry Page, étudiant à Standfort, veut participer aux mouvements de la société en développant internet afin de faciliter son accès. Il est persuadé que toute la connaissance humaine sera accessible sur Internet si on arrive à en simplifier l’accès. Pour ce faire, il va alors faire appel à son ami Larry Page, également passionné de technologies, pour créer tous deux un serveur qui centralisera toutes les données circulant sur le net. Ils vont télécharger tout internet et le rendre consultable. Le but étant de favoriser l’échange rapide d’information et de faire émerger un nouveau monde. Ce sont de purs intellectuels.

En 1996 à Washington le gouvernement américain décide de soutenir internet et d’investir dans les nouvelles technologies. Son objectif était de faire d’internet le nouveau moteur de l’économie américaine et le gouvernement donne alors tous les moyens nécessaires à la recherche universitaire. Il met alors à disposition 24 millions de dollars pour financer les projets de ces étudiants. Ainsi, Sergueï Brin et Larry Page obtiennent les fonds nécessaires pour développer leur idée.

Au bout d’un an de recherches ils finissent par trouver la formule mathématique capable de classer toutes les informations circulant sur la toile. Ils décident de nommer leur invention Google, une référence à une formule mathématique. Immédiatement, Google connaît un succès fulgurant.

Cependant, Sergueï Brin et Larry Page savent qu’ils peuvent devenir des pionniers mais pour cela ils doivent convaincre des investisseurs sans pour autant perdre le contrôle de leur société, contrairement à Steve Jobs. Ils vont vendre le service de Google à des financiers pour 25 millions de dollars tout en gardant le contrôle de la société.

En 1999, Larry Page et Sergueï Brin sont chefs d’entreprise et millionnaire. La start-up, Google, a conquis le monde en à peine 3 ans. En 2001 le moteur de recherche Google écrase tous ses concurrents du monde. C’est le plus grand bouleversement technologique depuis 500 ans qui permet au monde d’avoir accès aux flux d’informations circulant sur internet.

Chapitre 3 - Tous connectés :

Mark Zuckerberg, jeune étudiant d’Harvard, créée en une nuit le site internet Face Mage. Le but de son invention est simple : une de compétition pour désigner qui est l’étudiante la plus sexy du campus. Pour alimenter son site, il a piraté les données pour avoir les photos de chaque étudiante. Grâce à cette prouesse informatique, il est repéré par Divya Narendra et les jumeaux Winklevoss, qui ont pour projet de créer le premier trombinoscope de l’université.

Mark Zuckerberg rejoint l’équipe en tant que programmeur et développer du projet. Dès sa première nuit, il voit des limites au concept et veut l’élargir à son propre compte. Il va alors voler l’idée de base des jumeaux Winklevoss pour l’améliorer. Après 4 mois de travail acharné, le 4 février 2004, il met en ligne The Facebook à Harvard. C’est le premier réseau social étudiant. Très rapidement le site devient un tsunami sur le campus et compte des milliers d’utilisateurs. The Facebook va alors s’exporter a d’autre universités et compte plus de 100 milles utilisateurs, une révolution informatique.

Sean Parker, visage de la nouvelle génération informatique de la Silicon Valley, va s’intéresser à The Facebook et son créateur. Il va aider l’entreprise de Mark Zuckerberg à s’agrandir en commençant par déménager sur la côte ouest et modifier le nom de l’application, devenant ainsi Facebook.

Mark Zuckerberg, va développer sa vision de Facebook : il pense pouvoir modifier les relations humaines en connectant entre eux tous les habitants de la planète. Un moyen de connecter le monde entier, de créer une communauté globale.

Dès lors, il va ouvrir son site au mond e entier. Facebook devient alors un réseau social destiné à tous et non plus aux simples étudiants américains. Les grands groupes informatiques, Google (côté en bourse depuis peu), Yahoo et Microsoft, vont essayer de racheter le concept à Mark Zuckerberg, seul PDG de la société. Du haut de ses 22 ans il prend un malin plaisir à refuser toutes ces offres. Yahoo propose même 1 milliard de dollars pour acquérir Facebook, symbole du potentiel énorme de cette Facebook, une révolution dans le monde de l’informatique mais aussi en matière de relation humaines.

Chapitre 4 – Au cœur du pouvoir :

Le

...