La nation, introduction.
Cours : La nation, introduction.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar nanou36 • 21 Novembre 2016 • Cours • 664 Mots (3 Pages) • 859 Vues
C’est la population, c’est la substance humaine de l’État c’est un groupement d’individus solidaire et sédentaires qui se sentent unis les uns les autres par des liens matériel et spirituel qui les distingues des autres communautés national (nationaux français se sente distingue des nationaux allemands, qui se sente distingue des anglais…). De nombreux facteurs discutables entre en ligne de cause pour savoir si on est ou non en face d’une nation. Au 19ème siècle, il y a eu forte thèse pour le savoir : la thèse dite allemande, issue du mouvement littéraire du romantisme allemand, est une thèse dite objective au déterminisme en ce qu’elle fait de la nation la résultante d’une série d’élément purement objective, c’est case objectives sont la géographie, la religion, la langue et la race. Et seul les individus répondant à tous ces critère peuvent prétendre appartenir à la dite nation. A cette thèse, s’oppose la thèse dite française qui elle est issus de la philosophie des lumières et de la révolution, elle ne néglige pas du tout les facteurs objectif mais insiste sur un élément subjectif essentiel à ses yeux qui est le vouloir vivre collectif, le vouloir vivre ensemble. « C’est elle sentiment des individus d’appartenir à une collectivité différente des autres, et par la conséquence, leur volonté de constituer communauté distincte des autres fait d’eux une nation » « La nation c’est un vouloir vivre ensemble, un plébiscite de tous les jours. ». Cette thèse s’appuie sur l’esprit, la nation contrat, de nature civique, dans la conception allemande l’individu n’est pas libre, sa nationalité est imposée par sa naissance, sa langue… C’est une thèse déterministe. Au contraire la thèse française, insiste sur la liberté de l’individu qui doit s’auto déterminer quel que soit son hérédité. Les deux thèses s’affrontent aux sujets de l’Alsace. La thèse allemande fera des Alsaciens des Allemands par déterminisme. Si cette thèse perd au lendemain de la 2nde GM, ces conceptions non pas disparus, s’épanouissant toujours dans le monde. (Ex : Turquie veut rentrer dans UE : oui pour géographie ou non pour culture ? Article 49 du traité sur l’UE, stipule que tout Etat européen qui respecte les valeurs visés à l’article 2 et s’engage à les promouvoir peut demander à devenir de l’Union.) Toutes ces questions sont obscurcies par des aspects éco, repose d’avantage sur préoccupation éco. Que sur des appartenances affectives. Ces doctrines font apparaitre des relations naturelles entre la nation et l’Etat. Une nation, un groupement qui prend conscience de son aspect national aspire à se constituer en un Etat souverain d’où le terme classique : d’Etat-nation. Une communauté destin, se peuple va tendre à s’organiser et ce centraliser politiquement sous le forme d’un état souverain et l’état apparait donc comme le prolongement logique, l’achement de la nation qui normalement lui est antérieure. Il existe de non concordance entre Etat et nation, dans certain cas cette situation est reconnus on parle alors d’Etat plurinational ou multinational (Empire Tchécoslovaquie : Etat binational). Tous les mouvements nationaliste que se développe au sein d’un état, prétende aussi se trouver dans une certaine situation. En Europe de l’Est, on invoque souvent l’existence d’un état parent qui aurait sur le territoire
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