Exercice la liberté de choix d'un régime juridique du travail

La liberté de choix d’un régime juridique du travail

1. La subordination juridique à l’égard d’un employeur privé

Question 1

Les trois pouvoirs de l’employeur sont le pouvoir de direction, le pouvoir réglementaire et le pouvoir disciplinaire. Tous apparaissent dans le document 6, tout d’abord, on voit le pouvoir de direction dans le deuxième paragraphe « la notoriété de notre restaurant et votre contact avec la clientèle rendent incompatible votre fonction avec le port des boucles d’oreilles », dans cette phrase le directeur rappel les directives qu’il a déjà données à son employé. Ensuite, nous avons le pouvoir réglementaire « vous êtes soumis aux horaires affichés dans le règlement intérieur », « le contenu de vos tâches est clairement énoncé dans votre contrat de travail. », ici le directeur se réfère au règlement intérieur et à un contrat de travail qui sont des documents déjà établis et connus de tous. Et pour finir nous avons le pouvoir disciplinaire « j’ai déjà dû vous adresser un avertissement », « sous peine d’encourir une mesure de licenciement », avec ses citations, on voit la sanction qui a déjà été prise ainsi que la sanction qui menace l’employé.

1. Le travail dans un contexte d’indépendance

Question 2

Les raisons qui ont poussé ce jeune homme à délaisser le statut de salarié au profit de la création d’une entreprise sont déjà que les débouchés qui lui étaient proposés ne correspondaient pas avec ses envies, « le projet ne me convenait pas, en tout cas le secteur ». Ensuite, il dit aussi « j’avais énormément envie de me sentir libre et une féroce volonté de prouver que je pouvais créer quelque chose », créer sont entreprise était donc l’option qui lui convenait le mieux à ce moment-là. En effet, le moment était parfait selon lui « Créer une boîte en sortie des études est l’une des meilleures périodes : on dispose de beaucoup de temps et d’énergie, pas « d’accroche », pas de gros besoin financier ». De plus, il dit que même en cas d’échec créer son entreprise lui aura appris beaucoup, « les compétences acquises, les relations ou encore la maturité professionnelle gagnée ».

Question 3

Un CDI aurait été plus rassurant, Vincent Redrado le dit « bien évidemment, un CDI, c’est rassurant ». Et c’est vrai avec un CDI nous protège des licenciements abusifs, un salaire minimum est assuré ainsi que protection sociale, cela par le fait du contrat qui est signé à l’embauche. Un CDI facilite aussi la vie comme par exemple pour un emprunt bancaire, car la banque à l’assurance que vous pourrez la rembourser. En cas de licenciement ou de faillite de l’entreprise le salarié aura droit à l’assurance chômage. Le contrat signé permet aussi de définir les limites du poste de façon à ce qu’un informaticien ne se retrouve pas à jouer le cracheur de feu. Pour finir, le CDI permet aussi l’assurance d’avoir des congés et donc de se reposer. C’est pour toute cette sécurité qu’un CDI aurait été plus rassurant.

Question 4

Entreprendre est une opportunité, en effet, grâce à ce que cela apporte, « les compétences acquises, les relations ou encore là maturité professionnelle gagné », même en cas d’échec se sera toujours un plus. De plus entreprendre est le meilleur moyen d’avoir un poste qui nous correspond. Vincent Redrado ajoute « créer une boîte à la sortie des études est l’une des meilleures périodes », pour lui entreprendre jeune est le moment le plus opportun car c’est le moment où nous avons le moins à perdre.

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