Cette part de rêve que chacun à en soi
Dissertation : Cette part de rêve que chacun à en soi. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Clémentine Thomas • 31 Janvier 2021 • Dissertation • 364 Mots (2 Pages) • 424 Vues
THOMAS – Clémentine – 1TS2
Chaque être humain porte en soi cette part de rêve. La société utilise les médias afin de pouvoir suscité l’envie et le rêve chez la population. Les trois documents du corpus s’interrogent sur la position du rêve chez chacun des individus : G. Pérec, dans Les Choses en 1965 met en scène un couple qui aimerait réaliser leur idéal cependant il existe des contraintes ; le roman d’inspiration autobiographique de F. Beigbeder, 99 francs de 2000 explique que la publicité fait rêver de fait inaccessibles, tout comme dans le texte de M. Jouve, dans Communication en 2000 qui met en avant la manipulation des publicités. À travers ce corpus nous verrons que le rêve n’a pas toujours pour conséquence le bonheur. Il semblerait que le rêve n’étant pas constamment accessible induit du malheur chez l’Homme, cependant la soif de rêve est source de bonheur chez celui-ci.
Les documents du corpus soulignent que le rêve n’étant pas constamment accessible cela provoque le malheur chez l’être humain.
Les médias sont que des images idylliques de la réalité.
Les publicités mettent en scène un monde idéal qui font rêver les téléspectateurs qui est pourtant impossible à atteindre selon M. Jouve. Le couple de G. Pérec insinue qu’il faudrait « un miracle » pour que leur projet se réalise.
Le malheur suit le bonheur qui est éphémère.
Le bonheur est le temps d’un instant, les publicitaires font voir les images qui suscite chez les consommateurs de quoi les faire rêver et imaginer un idéal qu’ils ne pourront pas toujours s’offrir. De plus, selon M. Jouve économisé pour pouvoir s’offrir son rêve qui sera certainement obsolète une fois obtenu.
Les trois documents du corpus permettent de comprendre que le rêve n’est pas définitivement source de malheur ou de bonheur. On peut être heureux le temps d’un instant mais jamais assez comblé ce qui induit une soif de toujours vouloir dépenser pour assouvir ses rêves ce qui peut engendrer du malheur.
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