PHI2015 Pensée critique et argumentation
Synthèse : PHI2015 Pensée critique et argumentation. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar 182114 • 26 Avril 2020 • Synthèse • 1 391 Mots (6 Pages) • 2 200 Vues
PHI2015
Pensée critique et argumentation
SYNTHÈSE 5
Roman de la rédactrice en chef
Chapitre 5, Le changement et ses effets
Perspective diachronique
Le premier chapitre introduit les personnages principaux : Béatrice Desmarais graphiste et Marcel Laroque, président de la FISSQ (Fondation de l’Institut des sciences sociales du Québec). Béatrice Desmarais alors présente dans le bureau de Monsieur Laroque pour lui présenter une maquette. Celui-ci lui propose de jeter un coup d’œil sur la revue qu’il lui tend et demande de l’évaluer. Son œil critique de graphiste voit déjà toutes les imperfections de la revue.
Le sort est joué ! Béatrice questionne sur le financement, les commanditaires, la mise en page, etc. Monsieur Laroque répond vaguement et lui dit que c’est le bulletin des recherches scientifiques des chercheurs. Il l’observe avec un sourire, car ce n’est peut-être pas l’avis sur la revue qui l’intéresse. Bientôt c’est Béatrice Desmarais qui tente une approche avec Monsieur Laroque lors d’un événement, elle s’empresse à lui soumettre son intérêt à s’occuper de la revue ! Elle lui offre de faire mieux pour le même prix. Monsieur Laroque, lui dit qu’il ne décide pas seul et en parlera avec son CA.
Lors de sa rencontre d’engagement, Monsieur Laroque insiste sur le fait qu’ils ne connaissent rien en édition. Qu’ils ont un budget limité pour faire la revue et qu’ils sont aussi très peu outillé en matériel et en ressources humaines. En fait, Monsieur Laroque a d’autres projets pour elle, soit de lui donner le mandat de tout faire. Béatrice Desmarais embarque dans l’aventure en croyant qu’elle fera la mise en page, mais en fait elle devient la « rédactrice en chef ».
Devant l’offre du CA et le rêve d’un tel projet, Béatrice se fait prendre dans son jeu. Car Marcel Laroque impose les règles du CA en lui donnant des restrictions budgétaires et le mandat de se débrouiller avec les commanditaires subventions, textes, etc.…Il insiste sur la non-négociation du salaire et des clauses du CA. Béatrice se voit donc dans l’obligation d’accepter ces clauses si elle veut le travail et ça même si elle croule sous la charge ! Il s’en lave les mains et lui remet le bébé.
Dans le second chapitre, Béatrice Desmarais rencontre les collaborateurs lors d’un dîner est organisé au restaurant « Le Tabouret ». L’invitation ne connait pas le succès escompté par le président de la FISSQ puisque seul un scientifique se présente. Elle rencontre Monsieur Saint -Arnaud, qui a des allures de gentlemen et qui lui répète sans cesse qu’il est très occupé, tout comme ses collègues d’ailleurs. Elle se bute à un scientifique qui ne désire aucunement s’impliquer. Elle doit contre argumenter sur le fait qu’elle n’est pas elle, scientifique et qu’elle aura besoin d’aide pour les textes. La rencontre ne se passe pas très bien, Marcel Laroque ne dit pas un mot et elle doit argumenter avec Monsieur Saint-Arnaud pour le forcer à venir assister à une première rencontre. Devant l’insuccès de cette rencontre, Monsieur Laroque lui fournit une liste de collaborateurs potentiels que Béatrice s’empresse d’aller rencontrer. Béatrice Desmarais est déçue et trouve difficile de motiver, tout ce monde réfractaire à l’aider dans son travail.
Elle fait la rencontre de Sophie Potevin avec qui elle développera une belle complicité et qui sera un atout pour ses projets à venir. De plus, Sophie Potevin met tout de suite en garde Béatrice de bien se préparer, car, ces messieurs sont très occupés et n’ont pas de temps à gaspiller. Elle doit faire face à un nouveau personnage, Louis Bosquet, un chercheur vigoureux et rigide ; il a des idées bien campées sur ce qu’est la revue et à quoi elle doit servir. Elle le convainc quand même de venir à la réunion en vue de former le comité.
Vient le grand jour de la rencontre avec ses collaborateurs, Béatrice Desmarais se présente sûr d’elle, elle tente une stratégie de valorisation pour se rallier les collaborateurs. En effet, Béatrice réussit à rejoindre les membres dans leurs intérêts personnels. C’est ainsi qu’elle s’accroche Messieurs Bosquet par l’ingénie sociale et Saint Arnaud par sa recherche sur la couche d’ozone. Elle profite
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