Définition philosophie et rationalité
Fiche : Définition philosophie et rationalité. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ayxblm • 3 Août 2020 • Fiche • 638 Mots (3 Pages) • 880 Vues
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Aya Chetara Philosophie et rationalité
Fiche examen 1 13/02/2020
LES DÉFINITIONS :
- La méthode c’est une remise en question sur l’existence (question ouverte au débat, réflexion, prise de position et arguments)
- Les concepts sont quelque chose d’abstrait
- La philosophie c’est la recherche de la sagesse, elle s’intéresse aux réalité existentielle et universelle, mais la philosophie n’est pas la religion. Elle traite la nature et la profondeur de l’âme, mais la philosophie n’est pas la science.
- La rationalité vient du mot ratio (calcul, ordre, logique) Penser de façon rationnelle implique la conscience d’un but à atteindre ainsi que l’application des règles pour arriver à ce but. L’attitude rationnelle se rapproche des questionnements sur le sens de la vie et sur l’expérience humaine. Les arguments appuient nos positions. (Contraires : intuition, sentiment, irrationalité et folie)
- Le questionnement en philosophie : le questionnement se manifeste clairement chez l’enfant, mais tout questionnement n’est pas philosophique et toute réponse à une question est philosophique.
- La problématisation : Un problème c’est lorsqu’on veut comprendre une réalité. Des enjeux c’est lorsqu’on doit l’inventaire des informations/questions sur le sujet. Une question philosophique c’est une formulation d’une question qui touche fondamentale ouverte.
- La conceptualisation : Consiste à définir des concepts et les ordonner d’une manière systématique à l’intérieur d’une théorie (la mort est différente pour Platon et Épicure)
- Le raisonnement (une combinaison de jugements) : Opération intellectuelle qui consiste à lier des jugements d’une manière ordonnée ou afin d’en soutenir un autre.
- *Le jugement de fait : Consiste à se prononcer sur quelque chose d’observable, un évènement historique.
- *Le jugement de valeur : Consiste à évaluer une réalité, une personne, un comportement (comme en éthique)
- *Les objections : Lorsqu’on argumente, on utilise des objections pour appuyer une thèse différente à celle qu’on soutient. Ces objections peuvent attaquer le bien-fondé des théories, les arguments employés, les définitions suggérées et les conséquences possible de l’argumentation.
- *La réfutation : Ces objections peuvent être formuler par soi-même. IL FAUT RÉFUTER CES OBJECTIONS (y répondre)
- La structure du raisonnement : La conclusion/thèse (jugement qu’on vise à soutenir), les prémisses (les jugements sur lesquels on s’appuient pour soutenir une conclusion) et les liens d’inférence (liens établit entre les prémisses et la conclusion)
- Contenu : Les idées qui constituent la manière des jugements et qui renvoient à des choses déterminées à la réalité
- Le principe du tiers exclu : A ou non A (pas de 3ieme possibilité)
- Les quatre sortes de propositions : Universelle-affirmative (Tout les A sont B), universelle-négative (Aucun A n’est B), particulière-affirmative (Quelques A sont B), particulière-négative (quelques A ne sont pas B)
- Raisonnements déductifs : Conclusion évidente, nécessaire et logique (Tout les A sont B, X est A, donc X est B)
- Raisonnements inductifs : Conclusion à partir de quelques cas (prédiction, probable)
- Raisonnements hypothétiques (si…) : Avec un antécédent hypothétique et un conséquent non-hypothétique
- Raisonnement invalides : Dans le but de tromper, comme les sophismes.
LES DOMAINES DE LA PHILOSOPHIE (doc.gris)
LES SOPHSIMES (doc.gris)
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