Correspondance avec Elisabeth, Descartes
Commentaire de texte : Correspondance avec Elisabeth, Descartes. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar jennabbb • 3 Février 2018 • Commentaire de texte • 471 Mots (2 Pages) • 1 030 Vues
Page 1 sur 2
Correspondance avec Elisabeth
- L’alternative entre la gaieté, au risque de l’ignorance et la clairvoyance, au prix éventuel d’une profonde tristesse
- La gaieté au prix de l’ignorance
- on est satisfait d’une illusion ( la réalité refuse toute satisfaction)
- cela se traduit pas une surestimation de soi et une sous estimation de ses vices
- L'individu confond alors le réel et l’imaginaire et se place dans une démence hors de sa raison
- il s’agit d’un choix d’une gaieté sotte
- Cette illusion est aliénante pour l’individu
B) La clairvoyance au prix de la tristesse
- le savoir et la connaissance de soi sont les vertus cardinales
- même si cela engendre la tristesse cela permet aussi la liberté
- on connait grâce à l’exercice da sa raison et de sa connaissance
II. l’hypothèse de l’identité de la gaieté au souverain bien en adoptant la perfection comme critère
A) Le souverain bien comme perfection
- le critère d’appréciation d’un bien est la perfection
- la perfection est la seule chose qui réalise pleinement et qui comble un individu
- mais ce qui nous comble est différent de la satisfaction de l’esprit
- le souverain bien exerce la liberté et la vertu mais ne satisfait pas l’esprit
- le souverain bien n’est pas un moyen de parvenir à la béatitude
- La vertu fait la plénitude de l’être et la plénitude ontologique
- il faut distinguer le plaisir et me contentement de l’esprit
- la perfection est là où il n’y a pas de virtualité
- la vertu qui se résulte par la connaissance nous parfait et à ce prix là, on peut affronter tous les défauts
- la vertu nous ne la devons qu’à nous même ( notre entendement) contrairement à la gaieté que nous devins à l’ignorance qui nous aliène contre notre volonté
- la vertu remplit de bonheur intérieurement l’homme, contrairement à la gaieté extérieure qui n’est qu’apparence
III. La perfection du souverain bien est différent de la béatitude naturelle qui n’en est que le surcroit
- la béatitude n’est pas la récompense de la vertu
- la béatitude n’est pas la visée surtout au prix de la lucidité
- la béatitude est naturelle car elle apparait lorsqu’un individu a le témoignage que sa conscience se rend à elle même en éprouvant la satisfaction de la vertu au sujet
- mais la béatitude n’est pas une satisfaction de la vertu ( sinon elle lui serait supérieure)
- La vertu n’a comme visée qu’elle même et non pas la recherche du souverain bien
- la vertu c’est posséder de biens tout en étant libre
- le souverain bien ne serait pas souverain s’il y avait quelque au dessus de lui donc c’est ce qui doit être recherché
- la perfection ( la vertu) est une fin en elle même
- il ne faut pas que tout soit recherche de satisfaction sinon on se méprendrait
...
Uniquement disponible sur LaDissertation.com