Descartes et la Princesse Elisabeth
Commentaire de texte : Descartes et la Princesse Elisabeth. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar molly.gs • 23 Février 2022 • Commentaire de texte • 1 487 Mots (6 Pages) • 355 Vues
Ce texte est un extrait de la correspondance entre Descartes et la Princesse Elisabeth du 15 Septembre 1645. Dans ce texte Descartes soulève un problème : devons nous agir au nom de nos intérêts personnel ou des intérêts d'un groupe ?
En effet il est bon et important de s'occuper et penser avant tout à soi , mais pourtant cela reste mauvais de servir uniquement ses propres intérêts.En quoi l’égoïsme est il mauvais ici ? Comment agir étant donné que je dois servir mes intérêts face à d'autre personne qui doivent eux aussi servir leurs propres intérêts ? Alors que nous faisons tout deux partie d'un « tout » au quel nous devons aussi servir nos intérêts ? Y a t'il donc un intérêt commun à défendre ensemble ? Descartes soulève aussi d'autres problèmes celui de quel est notre identité ? Sommes nous des personnes à part entière qui défendent leurs intérêts ? Faisons nous partie d'un groupe ? Dans ce cas la la défense de nos intérêts doit elle être porter à l’égard de se groupes ?
Nous revenons finalement à la question du départ , devons nous agir au nom de nos intérêts personnel ou des intérêts d'un groupe ?
Descartes, pose une règle : l’homme est unique mais appartient à un tout, qui voit ces intérêts passer avant les intérêts personnels. En effet, selon Descartes, l’homme appartient a un tout et cela pour une question de survie, et il faut favoriser le tout, auquel on appartient, avant sa propre personne.
Nous verrons cela à travers trois partie . Dans une première partie Descartes émet une règle, qui semble être la base de sa thèse, l’individu fait partie d’un tout qui passe avant sa singularité. En effet nous sommes certes une personne à part entière , formant un « tout » par apport aux autres . Mais nous faisons aussi partie de groupes. Dans une seconde partie Descartes énonce les effets d’une telle règle,il se base sur une morale ou il faut faire passer les intérêts du tout avant ses propres intérêts;mais il ne faut pas oublier qu'il faut juger chaque situations pour être juste . Puis dans une dernière partie il expose les modalité dans l’application de la règle qu’il a proposer. Les inconvénients si on ne respecte pas cette règle mais aussi les avantages si on l'applique .
Dans cette première partie Descartes débute avec un constat ("Bien que chacun ... par sa naissance") .Il admet dans un premier lieu avec «une personne séparée des autres », l’unicité de chaque individu. Nous sommes un « tout » qui est séparé des autres et c'est cela qui entraîne aussi une séparation des intérêts particuliers .En effet c'est pour cela qu 'on peut les qualifier de « distincts de ceux du reste du monde » car chaque personnes possèdent des intérêts qui lui sont propres.Mais cette analyse de l'identité est incomplète car en effet comme le dit Descartes « on ne saurait subsister seul » on n'en déduit qu'on ne saurait survivre sans les autres, et donc séparé des autre. Assurément nous appartenons à des ensembles, des groupes sans lesquels nous ne pourrions subsister, du moins en tant que corps ou en tant qu’êtres composés d’une âme et d’un corps. Je dois mon existence physique à mes parents, je ne pourrais pas vivre comme je vis sans une société. En effet je suis à moi même un « tout » mais je suis aussi l’élément, une partie d'un « tout » comme le fait comprendre Descartes avec deux énumérations , la première qui nous fait comprendre que on appartient l’« univers », à la « terre », à l’« État », à la « société », à la « famille », on constate d'ailleurs une gradation qui va du plus général au plus personnel . Dans une seconde énumération « à laquelle on est joint par sa demeure, par son serment, par sa naissance » il exprime ici les liens qui nous unissent . Comme on vient de le voir, l’existence de chaque individu est donc liées à leur appartenance dans une série de groupes .
En se basant sur cette analyse de l'identité , que doit on en déduire du rapport envers les autres ? Qu'en est il de la morale de se constat ?
Dans cette partie , après avoir analysé la définition de l'identité Descartes en découle une morale (Et il faut … pour la sauver). Il explique d’abord que l’intérêt personnel
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