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La rationalité scientifique et l’avancement technique qui s’en accompagne doivent ils être interprété comme la réalisation propre de l’être humain ou comme sa dénaturation ?

Fiche de lecture : La rationalité scientifique et l’avancement technique qui s’en accompagne doivent ils être interprété comme la réalisation propre de l’être humain ou comme sa dénaturation ?. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  7 Avril 2019  •  Fiche de lecture  •  390 Mots (2 Pages)  •  624 Vues

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La rationalité scientifique et l’avancement technique qui s’en accompagne doivent ils être interprété comme la réalisation propre de l’être humain ou comme sa dénaturation ?

DESCARTES

Tout d’abord, Descartes sous-entend que la vie en générale est une école en soi. Cela provient entre autres de l’enfance de Descartes, d’où il explique qu’il a appris beaucoup plus sur les gens de métier que sur les bancs de l’école, et que par ce fait même, il se remet en question sur les connaissances générales. Selon lui, les mathématiques sont la seule connaissance qui ne l’amène pas à douter, puisque c’est un raisonnement logique et qu’il y a juste une réponse envisageable. En effet, … Également, Descartes cherche à répondre à toutes les questions existentielles de la nature humaine, mais aucune réponse est assez viable pour comprendre l’être humain et la vie en question. « Si je doute, je pense et si je pense, je suis » Dans la mesure ou il se questionne sans cesse, et que même dans les plus profonds questionnements, l’être humain est toujours porté à douter de ses connaissances et de son environnement. Or, dans la pensée, il y a le rationalisme et c’est ce qui, selon Descartes permet de discerner le vrai du faux dans un discours. Ainsi ..Dans cette optique, les choses qui sont certaines deviennent des incertitudes, et les choses qui sont déjà acquise sont universelles. Entre autres, .. 

ROUSSEAU.

Selon Rousseau, l’état naturel de l’homme mène à des inégalités sociales. L’homme naît sauvage, dans la mesure où celui-ci vit dans l’instinct de survie. Ainsi, lorsque les humains ont commencé à se côtoyer, c’est dans cette optique que l’inégalité sociale a débuté. Selon le livre de Rousseau : « Celui qui chantait ou dansait le mieux; le plus beau, le plus fort, le plus adroit ou le plus éloquent devient le plus considéré, et ce fut là le premier pas vers l’inégalité, et vers le vice en même temps. » En effet, c’est dans le regard des autres que l’inégalité est née, que ce soit dans la comparaison ou l’envi et le désir d’être comme un autre ou mieux. Or, lorsque l’homme était seul, à l’état sauvage, il n’était pas propice à développé des liens avec d’autres humains et ainsi provoquer des injustices ou de conflits. Également, Rousseau implique l’amour propre plutôt que l’amour de soi comme étant

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