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Synthèse de documents

La coopération est présente dans de nombreux moments de nos vies sans que nous nous en rendions compte. Pour traiter ce sujet quatre documents ont été mis à notre disposition. Le premier document a été écrit par Frans de Waal, il ce nomme « L’émergence de la coopération ». Ce document date de novembre 2014, c’est un document explicatif de la coopération chez les humaines et chez les animaux. Le second document est extrait du site France culture et a été publié en juin 2018. Il ce nomme « les coopératives d’habitants : phénomène de mode ou véritable alternative au logement social ? ». Ce document explique les disparités faite entre les classes sociales et la façon dont ce forme un groupe pour y remédier. Le troisième document est une fable de Claris de Florian qui ce nomme « L’aveugle et le paralytique ». Cette fable date de 1792 et raconte une union entre deux handicaps afin d’en faire une force. Le dernier document est une affiche créé par l’ONG « Médecin du monde » pour sa campagne de 2016. L’affiche ce nomme « La beauté du monde » et elle explique que nous nous rendons compte de la valeur des choses quand nous les perdons. Les documents qui nous sont proposés à l’étude s’intéressent à la coopération qui existe dans tous les milieux et également chez les primates. La coopération est une action de participer à une œuvre commune. Nous nous demanderons en quoi la coopération est un acte solidaire ? Premièrement nous nous intéresserons à la coopération qui est un acte d’entraide puis nous verrons que la coopération est également un acte individualiste.

Les actes de coopérations existent depuis toujours et chez tout le monde. En effet le texte de Frans de Waal nous montre que la coopération ce trouve chez les Humains et chez les primates. Dans « L’émergence de la coopération » la coopération est décrite comme étant un acte solidaire qui n’exige pas de liens de parenté entre les individus « la coopération n’exige pas de lien de parenté » l.20. L’affiche de l’ONG « Médecins du monde » nous montre également qu’il n’y a pas de liens de parenté puisque ce sont des donateurs, des anonymes qui permettent de faire vivre l’association. Cette forme de coopération est un acte désintéressé, une aide aux personnes en difficulté. Comme nous montre l’exemple des animaux qui aident un chimpanzé souffrant de rhumatisme dans le texte de Frans de Wall. Les animaux ne reçoivent rien en retour de l’aide qu’ils ont portés comme pour les dons à l’ONG « Médecins du monde » ou les donateurs reçoivent seulement un remerciement de la part de l’association.
        Dans d’autres cas la coopération est également un acte solidaire où les personnes participant ont un but commun à cet engagement. L’article de France-Culture nous montre qu’une classe sociale entière peu créer un groupe afin de répondre à un problème commun. Cette solidarité serait une forme de réciprocité. En effet les personnes s’aident entre elles en participant toute à la réalisation de l’objectif. Le fait de participer au projet est un don fait à l’ensemble du groupe. Frans de Waal reprend cet argument en disant ligne 25 « les chimpanzés se souviennent des faveurs qu’ils ont reçues ». Ici la coopération serait un échange afin d’améliorer les conditions de vies de chacun, c’est une aide mutuelle. L’amélioration des conditions de vie est également décrite dans la Fable de Claris de Florian qui dit «  aidons-nous mutuellement, la charge des malheurs en sera plus légère ».
        Ensuite la coopération peu également être vu comme une aide à la survie pour les personnes en bénéficiant. La fable de Claris de Florian nous raconte qu’une union entre deux personnes peu leur sauver la vie. Cette union a permis aux deux personnes à handicap de survivre à leur grande souffrance qui pour eux était trop insupportable puisqu’ils pensaient terminer leur vie. Frans de Wall écrit que certaines personnes vont même mettre leur vie en danger pour sauver celle d’inconnu.

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