Peut on sortir de sa culture ?

VIDOT Mathias TS1

Philosophie : peut-on sortir de sa culture ?

On peut définir la culture comme l’ensemble de se qui nous constitue, milieu social, idéologique, religion. On parlera ainsi de culture occidentale,américaine, la culture française, mais aussi du milieu social ; la culture bourgeoise, ouvrières… Ainsi déterminer « sa » culture, se résumerai à penser l’identité d’un individu comme la seule appartenance à son milieu. Ait créer un espace de liberté dans le sens où le rapport que j’entretiens avec mon milieu peut-être plus ou moins étudié, plus ou moins évidents et donc plus ou moins déterminants. De ce fait nous est-il possible d’adopter une autre culture ou est sommes-nous toujours liés à elle ? Là, il nous faut distinguer la culture de la nature. La culture relève de l’acquis là où la nature désigne l’instinct. Du coup, la question de la liberté se pose : la nature est le lieu de tous les déterministes là où au contraire, la culture est celui de la construction. Par exemple les objets culturels, sont bien une production libre mais pourtant raisonnée. Il faut donc différencier la culture d’appartenance géographique, culturelle… De la culture que l’homme entretient avec le réel. Se libérer de sa culture implique d’abord de savoir quel rapport le sujet entretient avec elle; est-elle une contrainte ou au contraire devientelle une ouverture ? De ce fait, dans quelles mesures la culture détermine t-elle notre rapport au monde?

Nous verrons dans un premier temps que parce que la nature est déterminante là où la culture est constructive, nous avons nécessairement un rapport libre à la culture, avant d’envisager du point de vue d’un sujet, né dans une époque et un lieu particulier, les normes culturelles qui déterminent son rapport au monde. Enfin, nous tenterons de dépasser cette contradiction en envisageant la liberté en un sens positif : la culture serait ainsi la condition de la liberté qui ouvre le monde.

Dans un premier temps nous pouvons dire que si la culture relève de l’acquis, nous pouvons avoir un rapport libre à elle, dans le sens où les exigence culturelles ne peuvent induirent un déterminisme similaire à celui imposé par la nature. Nous sommes libres face à la culture, construite par l’homme là où nous subissons ce que la nature nous impose. Les lois de la nature relèvent un déterminisme pur : nous ne pouvons y échapper. A l’inverse, les déterminismes culturels sont relatifs et nous gardons la liberté d’y ahdérer ou non. L’évolution des coutumes, des mœurs,leur différence selon les zones géographiques montrent la relativité de la culture, elle n’est pas figée, elle est inscrite dans le temps, c’est ce que nosu allons acquérir au cour du temps. Il y a plusieur moyen de forger cette culture, l’éducation en est un exemple. Les normes culturelles ne sont pas aussi déterminantes que les lois physiques.

La culture peut toujours être dépassée et en certains cas, et on peut penser qu’elle doit l’être, on peut penser à l'existentialisme de Sartre dans L'existentialisme est un humanisme. Selon lui, « l'existence précède l'essence », ce qui signifie que nous nous définissons et redéfinissons au fur et à mesure de notre histoire et de nos actions. On peut également penser à la conception kantienne d'une humanité dont la définition repose sur une nature humaine universelle.

Peut-on penser que l’homme né dans une aire culturelle particulière possède suffisamment de distance avec ce qui le constitue pour devenir libre ? Et quel type de liberté possède-t-il ?

Comme nous avons vu dans un premier temp que si la culture relève de l’acquis, nous pouvons alors avoir un rapport libre à elle, mais dans un deuxième temps est-il réellement possible de se libérer d’elle.

Nous pouvons déjà monté que des éléments rendent difficiles toute libération par rapport à elle. Nous avons toujours le choix, mais en réalité il est parfois compliquées de faire se choix et se libérer de sa culture en est un, mais si nous le faisions

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