Culture Générale

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• LA SYNTHESE

Le dossier que nous allons synthétiser se propose de faire le point sur les améliorations esthétiques de l’homme. Les auteurs constatent que la société à des normes et que beaucoup veulent s’y conformer. La modification du corps n’as plus de limite elle en devient une dictature pour être un idéal de la beauté pour se « retrouver » … Effectivement cette se société se focalisent sur l’apparence mais elle à ses coûts et ses bénéfices Mais comment ces changements artificiels sont-ils devenus un phénomène important dans notre société ?

Notre corps naturel nous est donné à la naissance mais celui-ci évolue selon les lois de la nature et sous l'influence du milieu dans lequel nous vivons.  De plus, les satisfactions sont différentes d’un individu à l’autre.

Pour bien comprendre le sujet, il convient de commencer par évoquer les raisons pour lesquelles on peut être amené à modifier son corps. Michala MARZANO dans « Le conformisme de la chirurgie esthétique », nous apporte une réponse toute simple : nul est à l’abri d’un accident, d’un cancer, et si l’on voit son image corporelle sérieusement endommagé, alors il n’est plus seulement question d’un désir, mais bel est bien d’un besoin d’intervention réparatrices avec l’enjeu de coïncider de nouveau avec soi-même.

Contrairement à la chirurgie réparatrice, la chirurgie esthétique a pour but de ressembler à son idéal de beauté. Cette pratique est  une solution pour tenter de se perfectionner et pour sortir du lot. Alors, on constate que les fronts doivent être plus lisses, le traits toujours plus lisses, plus figés, les seins toujours plus gros. Au fil des années l’apparence compte de plus en plus au sein de notre société où il est considéré que notre image doit être admirable pour accéder aux rêves américains. Constaté dans « La dictature du sourire éclatant » de Jean Michel NORMAND, on parvient même à aller au dentiste non pas pour se soigner les dents mais pour se rendre blanches. Il existe même un risque pour la santé pour certaines personnes se privant de nourriture afin de ressembler aux modèles dans les magazines féminins, explique Christiane Marzano dans « Le conformisme de la chirurgie esthétique ».

En somme, la modification du corps a permis de faire évoluer les normes de la société, et même pour certains de se sentir mieux dans leur corps. Cependant, ces changements sont-elles un réel bénéfice par rapport leurs coûts ?

L’intervention chirurgicales ou autre modifications peuvent être irréversibles. Du coup, il faut mettre en balance ses coûts et ses bénéfices. En effet, quels que soient les bénéfices que l’on peut espérer, les gens doivent comprendre qu’elle a aussi un coût.

Comme le dit Mona CHOLLET dans « Refaire le monde à coup de bistouri », 85% des actes esthétiques sont payés par un emprunt, qui nécessitent aucun apport minimum. Il est même constaté que des personnes sont prêtes à prendre une deuxième hypothèque sur leurs maisons pour parvenir à leur envies d’intervention chirurgicales. Il est même possible pour certains d’aller payer jusqu’ 800€ pour un simple blanchiment dentaire, qui autrefois n’était réservé qu’aux membres du show business. Ces frais engendrent un réel investissement quand il s’agit de dépenser une somme énorme lorsque l’argent est déjà un manque dans notree épargne pensant que cela rapportera bien plus.

Sur tous ces coûts, beaucoup y voient des avantages. Des dents blanches faciliteraient la vie sociale. Effectivement, avec un beau sourire, les gens vous rendent plus volontiers un petit service, alors qu’avec des dents jaunes on se ferait facilement interdire la discussion. Percevant leur corps comme un capital qu’il s’agit de valoriser sur le marché, une apparence qui as l’air moins vieilli, fatigué pourrait éventuellement ramener une nouvelle clientèle.

Ces changements artificiels devenus un phénomène important dans notre société car c’est eux qui nous permettent de mieux s’insérer dans la société constituant une conformité. Le dossier nous met en quelque sort en garde. En effet, elles modifient notre corps naturel afin de rentrée dans un moule ou l’on finit par tous se ressembler. Mais parfois il suffit peut-être seulement de s’assumer tel que l’on est.

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