« Poursuivre Le Bonheur Individuel Est-ce Compatible Avec L'idéal D'une Société Juste ? »
Compte Rendu : « Poursuivre Le Bonheur Individuel Est-ce Compatible Avec L'idéal D'une Société Juste ? ». Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Dazz • 2 Avril 2013 • 753 Mots (4 Pages) • 1 331 Vues
«Poursuivre le bonheur individuel est-ce compatible avec l’idéal d’une société juste ? »
L'un des principaux désirs de chaque société est d’être considéré juste et équitable. Ce but est l’une des marques par lesquelles une société mesure son succès. Au même temps, une société juste ne peut pas opérer sans la coopération de ses citoyens qui s’efforcent de l’améliorer pour le bénéfice de tout le monde. Alors, nous devons examiner si le bonheur individuel a une place dans la société, et si la réponse est affirmative, dans quelle mesure? Pour répondre à cette question, nous allons étudier la théorie communiste, les bases des valeurs constitutionnelles de la France et les États Unis, et le rôle de chaque gouvernement de protéger le bien commun de leur citoyen.
Le premier domaine que nous devons examiner concerne la théorie politique formé par le philosophe célèbre, Karl Marx. Dans son livre Capital, Marx envisageait une société où tout le monde était considéré égal, où les citoyens mettaient les besoins de la majorité avant ceux d’eux-mêmes. Dans une telle société, la poursuite du bonheur individuel n’a pas la même importance que le succès de la société entière. Marx la considérait l’incarnation d’une société juste, et en principe, on peut dire qu’il avait raison. Mais en réalité, le communise ne fonctionne pas dans le sens imaginé par Marx. Par exemple, avant 1991, la Russie, ou l’URSS a mis en œuvre la théorie Marxiste. L’un des problèmes fondamentaux qui a contribué à l’échec du communisme en Russie était celui de la corruption individuelle. Cette corruption montre que la poursuite de bonheur individuel est un désir extraordinairement difficile à supprimer et donc on peut déterminer que ce désir doit être logé par une société.
Il est certes vrai que les hommes responsables pour les Révolutions française et américaines acceptaient l’importance de ce désir. La devise de la Révolution française, « Liberté, Égalité, Fraternité », est un exemple d’un équilibre entre la poursuite de bonheur individuel et le but de former une société juste. Le mot « Liberté » est lié avec le principe d’autonomie de la volonté qui dicte que l’individuel est libre de faire ce qu’il veut. Cependant, l’usage des mots « Égalité et Fraternité » introduisent des limitations sur ce principe. La conviction que tous les hommes sont créés égaux signifie que les besoins des autres doivent être prise en considération par l’individuel. Si non, les règles et les lois qui gouvernent une société ne servirait à rien. Le célèbre « Rêve américain », qui essaie de motiver la peuple américaine avec la possibilité de devenir riche si l’individuel travaille dure, représente un autre exemple de la poursuite de bonheur individuel. Mais, il existe toujours le risque que dans la poursuite de ce bonheur, l’individuel devient avide. La crise économique est un résulte de cet avidité et cela montre qu’il faut avoir des limitations sur le bonheur individuel.
Il est facile de constater que le rôle de chaque gouvernement est de gouverner le pays et assurer le bonheur de ses citoyens.
...