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La vérité

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Par   •  16 Avril 2015  •  Commentaire d'oeuvre  •  574 Mots (3 Pages)  •  704 Vues

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Fidel:

Je me souviens de ce moment beaucoup de choses, quand je vous ai rencontré à Maria Antonia, lorsque vous proposez je viens long, toute la tension des préparations.

Un jour, ils ont demandé qui doit être notifié en cas de décès et la possibilité réelle de nous tous, il a frappé. Plus tard, nous savions que ce était vrai, que dans une révolution on gagne ou meurt (si ce est vrai). Beaucoup de camarades sont tombés sur le chemin de la victoire.

Aujourd'hui, tout a un ton moins dramatique, parce que nous sommes plus mature, mais le fait est répété. Je sens que je ai rempli la partie de mon devoir qui me lié à la révolution cubaine sur son territoire et je vous, collègues, vos personnes, qui sont maintenant mienne rejeter.

Je démissionne formellement mes positions dans la direction du parti, mon poste de ministre, mon grade de major, ma citoyenneté cubaine. Rien juridique me lie à Cuba, seuls liens d'une autre nature qui ne peut être rompu que les nominations.

Je raconte ma vie passée, je ai travaillé avec intégrité et dévouement suffisante pour consolider le triomphe révolutionnaire. Ma seule faute grave a été de ne pas avoir confié plus en vous dès les premiers instants de la Sierra Maestra et ne ayant pas compris assez vite vos qualités de leader et un révolutionnaire. Je ai vécu de magnifiques jours et je me sentais à vos côtés la fierté d'appartenir à notre peuple dans les jours tristes encore brillantes de la crise des Caraïbes. État rarement plus brillante dans ces jours, je ai aussi fiers de vous avoir suivi sans hésitation, identifié avec votre façon de penser et de voir et de dangers et l'évaluation des principes. D'autres nations du monde appellent mes modestes efforts. Je peux faire ce est vous refusé à cause de votre responsabilité en tant que tête de Cuba et le temps est venu.

Il faut qu'on sache que je le fais avec un mélange de joie et de tristesse; Je laisse ici le plus pur de mes espoirs comme un constructeur et le plus cher de mes proches ... et laisse un peuple qui m'a accepté comme son fils: que les plaies une partie de mon esprit. Dans les nouveaux champs de bataille prendre la foi que vous me avez appris, l'esprit révolutionnaire de mon peuple, le sentiment d'accomplissement le plus sacré des devoirs: lutter contre l'impérialisme où que vous soyez; Ce réconforte et guérit les blessures les plus profondes.

Je dis une fois de plus que je Cuba libre de toute responsabilité, sauf celle qui découle de son exemple. Si dernière heure me trouve sous d'autres cieux, ma dernière pensée sera pour ce peuple et surtout pour vous. Je vous remercie de votre enseignement et votre exemple et essaie d'être fidèle aux dernières conséquences de mes actes. Je ai toujours été identifié avec la politique étrangère de notre révolution et je suis encore. Partout où je me arrête je me sens la responsabilité d'être un révolutionnaire cubain et agir comme un seul. Je ne laisse pas mes enfants et mon matériel femme de rien je ne ai pas honte; Je suis heureux ainsi. Je ne demande rien pour eux, que l'Etat va fournir assez pour vivre et être éduqués.

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