Utopie
Dissertation : Utopie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar hippolyte07 • 19 Octobre 2022 • Dissertation • 2 118 Mots (9 Pages) • 317 Vues
Sommaire :
• Avant-propos
• Introduction
• Définir le concept d’utopie :
o L’aspect social
o L’aspect politique
• Critiquer :
o Limites
o Paradoxes
o Conséquences
• Dépasser :
o Leçons à tirer
o Solutions
• Conclusion
• Bibliographie/Sitographie
Avant-propos :
En utilisant mon esprit critique, je me suis posé la question suivante : ce devoir serait-il utile dans le cadre d’un idéal de société ?
Je ne pense pas.
Or, notre but à tous est de rendre la société meilleure. Ce devoir n’a donc pas rendu la société meilleure, alors que son thème était l’utopie.
Introduction :
“L'Histoire moderne a montré que l'utopie est mère de toutes les dictatures” disait Jacques Attali, un écrivain français, dans son livre Fraternités : Une nouvelle utopie, sorti en 1999. Ainsi, l’utopie voulue s’est souvent montrée dévastatrice tant sur le plan humain que social. En effet, l’utopie est un concept subjectif et personnel, désignant une société imaginaire idéale, qui divise en fonction des différentes idéologies, jusqu’à devenir dystopique. Car la dystopie est un récit de fiction qui décrit un monde utopique sombre. Mais alors, une frontière entre utopie et dystopie existe-elle ?
Nous analyserons cela dans une première partie qui définira la société idéale telle que je la rêve, mon utopie, et qui répondra à la question : comment définirais-je ma société idéale ? Puis, dans la deuxième partie nous aborderons les problèmes et les limites du concept d’utopie suivant l’interrogation : Quels sont problèmes de l’utopie ? Enfin, dans une troisième partie, nous dépasserons le concept d’utopie dans une partie : Comment dépasser les problèmes évoqués en recréant une utopie ?
Utopie, un mot inventé par Thomas More en 1516 dans son œuvre Utopia, définie une société imaginaire parfaite. Cette vision est la finalité, le but d’une société. Malgré cela, ce concept est extrêmement personnel. Dans cette partie, nous tenterons de définir ce concept, tant sur le plan général que sur les points qui me semblent importants. Mais quelle est ma société idéale ? Nous verrons cela dans une première partie qui abordera l’aspect social, et dans une deuxième partie qui parlera de l’aspect politique. Dans mon utopie, le point le plus important est la paix, car si la paix règne, alors le bonheur, la liberté, la stabilité et tant d’autres règnent. Cependant, « si vis pacem, para bellum » (si tu veux la paix, prépare la guerre) signifie que par temps de paix, il faut être prêt à la guerre, donc une bombe nucléaire peut dissuader de faire la guerre, comme durant la guerre froide et plus particulièrement la crise des missiles de cuba, où américains et soviétiques se faisaient face avec des missiles extrêmement puissants. Ce sujet est malheureusement encore d‘actualité avec la guerre en Ukraine. Toutefois, la citation en question est contradictoire avec la célèbre phrase de Rabelais : « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». La phrase du célèbre auteur français peut certes faire référence à la création d’armes toujours plus puissantes, mais aussi aux questions éthiques, lois bioéthiques etc., comme nous l’avons étudié en science et vie de la terre, avec la modification génétique, la sélection naturelle … Je pense donc que certaines avancées scientifiques sont bénéfiques à une société seulement si elles sont utilisées consciencieusement. Certaines permettraient que tous les individus de la société soit intégrés (par exemple les malvoyants avec des opérations), mais aussi en s’adaptant aux nouvelles lois. Dans l’idéal, les citoyens se soumettraient volontairement à une autorité, comprise et respectée. De nouvelles lois seraient donc crées. Dans le cadre de la préservation de la planète, cette société ne polluerait pas. Ceci, grâce notamment à des maisons idéales écoresponsables, projet que nous avons réalisé en technologie ; le réchauffement climatique serait donc stoppé, ainsi que la fonte des glaces, phénomène très important lié au réchauffement climatique, que nous avons étudié cette année en science physique et chimique.
Nous allons maintenant voir quel serait le système politique idéal pour une utopie : selon moi, dans une société idéale, la démocratie a le pouvoir. Le système qui me semble parfait est le modèle français, sujet que nous avons étudié en EMC, avec les pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires qui sont séparés : un président élu par référendum sans intermédiaire, les députés de l’Assemblée Nationale le sont aussi. Les Sénateurs sont élus par des grands électeurs, élus eux-mêmes par les citoyens. Le président nomme le gouvernement, qui propose des lois, votées par le Parlement(composé de l’Assemblée Nationale et du Sénat). Si le projet de loi est accepté, alors le conseil constitutionnel se réunit pour s’assurer de la conformité de la loi vis-à-vis de la Constitution. En EMC, nous avons aussi étudié le droit de nationalité. Il me semble cependant que la loi du 49-3, consistant au gouvernement de faire passer un texte présenté sans faire appel au Parlement, n’est pas utopique car la démocratie (démo=peuple, cratie=pouvoir) est le fait que le pouvoir appartienne au peuple, et non à une personne. Ce droit fût utilisé sous le quinquennat d’Emmanuel Macron, ainsi que sous François Hollande et d’autres plus tôt.
En définissant une société idéale, nous avons constaté que l’utopie présentait des failles, des limites.
« Idéalement, nous sommes ce que nous pensons. Dans la réalité, nous sommes ce que nous accomplissons » est une phrase d’Ayrton Senna, regretté pilote de Formule 1, qui s’accorde parfaitement avec les faiblesses de l’utopie. Mais, en quoi l’utopie est-elle critiquable ? Nous analyserons cela dans une première partie où l’on constatera les limites
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