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Sciences Infirmières philosophe

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Par   •  26 Juin 2014  •  1 364 Mots (6 Pages)  •  768 Vues

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III- Droits de l’homme et philosophe.

1) Questionnement philosophique et médical comme aboutissement de l’humanisme et de l’humanitaire.

Ce qui fait qu’un homme est véritablement un homme, c’est sa capacité et sa liberté de poser des q° et de se remettre lui-même en question. L’humanité interroge, devoir de poser des questions. Tous les soignants se posent des questions. Exp ; Pourquoi veut-on faire ce métier ?

Quelle est la place de l’ê humain. Une obligation universelle. Question en matière médical ; la pratique médicale se pose des questions scientifiques. L’interrogatoire ; précède l’examen clinique (osculation), remplacée par l’imagerie. Fin du XXème siècle ; on test beaucoup de chose.

Prendre son temps, c’est une habitude chez le soignant, capacité de questionner, relais des transmissions écrites (décrire les soins). Rôle propre de l’IDE ; questionner le patient et transmettre les infos à l’équipe soignante.

Déf et enjeux ; Philosophie, éthique et déontologie

2) Distinction entre le droit, la morale et l’éthique.

Le DROIT; c’est le domaine de la loi, il s’impose à tous les citoyens. Interdiction de tuer. Confronté à la loi= tous les soignants. Peut se discuter politiquement, pouvoir législatif (faire les lois), pouvoir judicaire (appliquer les lois). En tant que soignant, on à le droit d’amputer, le soin amène des droits que tous n’ont pas. Définit par les lois et le code de la santé publique.

D’un point de vue philosophique ; c’est quand on n’a pas le chois. Le droit à la désobéissance civile ; refuser d’appliquer la loi (exp ; pdt la 2 ème guerre mondiale, il y avait des lois raciales).Autre exemple ; Antigone de Sophocle ; le droit du respect du corps mort).

La MORALE ; c’est ce que l’on fait avec le sentiment que c’est bien ou que c’est mal en fonction des valeurs implicites que nous on donné la famille, la société et la communauté ; à laquelle on appartient, l’éducation, les croyances, l’éducation religieuse et les expériences personnelles et ressentis. Certains contestent la morale.

Nietzsche ; généalogie de la morale, nos valeurs morales ont une histoire, qqchose que l’on à construit. Le sens du devoir= sentiment de dette (devoir) cela dépend des cultures. On parle aussi du droit que le droit du plus fort. Freud dit ; sentiment de devoir et de dette. Rousseau + Kant disent ; la morale de qqlchose de constitutif par l’homme.

La morale ; domaine de l’action, dépend des mœurs, qqlchose de naturel que l’environnement va reprendre, valeurs mensongères.

L’ETHIQUE ; réflexion intellectuelle sur la morale.

Aristote ; opposer la morale de Platon à celle Aristote. Platon voit les hommes tels qu’ils sont et les décrit selon l’idée que le philosophe rapproche la morale et l’éthique. Au niveau politique, Aristote serait le philosophe du juste milieu, viser le juste mesure.

On ne peut pas viser, le bien absolu càd trouver le bien possible, le concept de la liberté, le chois entre plusieurs possibilités. Le tout étant d’être conscient et de réfléchir à ce qu’on fait.

Kant ; la loi morale, association entre la loi et la morale. Nous avons une loi morale qui va s’imposer à nous avec des impératifs catégoriques. L’autonomie =( auto ; par soi-même et nomos ; la loi).

Autonome ; se donner des lois à soi même différent hétéronomie ; qql un d’autre vous impose une loi critique de la raison pratique. La loi morale= la raison autonome, elle s’accompagne d’une réflexion éthique, d’une maxime universelle.

Levinas ; applique des grands principes éthiques, abstraits, application à la vulnérabilité, on s’adresse à autrui.

Respect du secret prof= respect du patient (consentement éclairé).

L’HOMME ; un ê humain, (ê =verbe), avoir le sentiment de l’humanité en soi et chez l’autre. Je suis un homme donc « je suis humain ».

LIBERTE ; notion complexe en philo car au sens propre, on ne peut pas vraiment le définir, c’est une des devise de la république.

1er contexte ; les hommes naissent libre en droit. Selon Sartres ; « serions nous condamnés à ê libre ? », soit on est esclave soit on est libre. On ne doit pas être la possibilité de faire n’importe quoi, le laxisme.

La liberté de l’indifférence ; la liberté s’arrête la ou commence celle d’autrui.

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