Recherche Sur La Nature Et Les Causes De La Richesse Des Nations

Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations

Dans « Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations » Adam Smith évoque la dépense publique.

Il qualifie la richesse collective comme le résultat de la répartition du travail. Celle-ci serait ainsi donc le résultat des échanges entre les individus motivés par leur intérêt personnel « Ce n'est pas de la bienveillance du boucher, du marchand de bière et du boulanger, que nous attendons notre dîner, mais bien du soin qu'ils apportent à leurs intérêts. » Ainsi, Adam Smith se pose la question suivante, les échanges fondent-ils la société ?

« L'homme a presque continuellement besoin du secours de ses semblables, et c'est en vain qu'il l'attendrait de leur seule bienveillance. » Adam Smith soulève l'idée que l'Homme serait dépendant des autres pour satisfaire tous ses besoins. Il ne peut satisfaire seulement par un autre ses besoins dont il n'est pas capable d'accomplir lui-même. Seulement, l'échange de service ne peut se faire seulement si les individus concérnés éprouvent chacun un intêret : acquérir le service, et donner le service en échange d'un autre service par exemple. « Donnez-moi ce dont j'ai besoin, et vous aurez de moi ce dont vous avez besoin vous-même. » Adam Smith présente ici l'échange de besoin par intérêt. Si les échanges se font seulement par intérêt il vient alors l'avantage pour un individu de produire un besoin susceptible d'interressé le plus de monde possible. Ainsi, les échanges deviennent le fondement d'une société : la satisfaction de mes besoin dépend d'autrui, mais la sastisfaction des siens dépend de moi. De part ses échanges équitables, chacun dépend ainsi de tout les autres.

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