Philosophie, somme théologique

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La liberté est un sentiment que toute personne aimerait avoir, cependant elle n’est

pas souvent obtenue totalement, c’est pour cela que l’Homme est toujours à sa

recherche. Cependant les avis sur la liberté ne sont pas souvent les mêmes, comme

pour Thomas d’Aquin qui estime que la liberté n’est pas la même selon l’être

concerné. Est-ce que l’homme est vraiment libre ?

Thomas d’Aquin y répond dans l’extrait de son texte ​Somme théologique

​

en nous

parlant de la liberté des Hommes et d'autres êtres vivants. On peut donc, dans un

premier temps parler de la liberté des Hommes puis mettre en parallèle celle des

autres êtres et enfin parler du dilemme qu’un Homme peut avoir avec les choix qu’il

fait.

Thomas d’Aquin commence le texte en nous parlant des conséquences plus ou

moins bénéfiques qu’ont eues les Hommes grâce à la liberté. Il parle de “conseils” et

“d'exhortations" ce qui incite l’homme à faire des choix différents de ce qu’il allait

faire au début. Il parle ensuite de "préceptes" et “d’interdictions” ce qui est une forme

de contre-liberté car ce sont des obligations que les hommes n’ont pas le droit de

faire, c’est donc bien contraire à la liberté. Enfin, les “récompenses” et les

"châtiments" n’existent que parce que les interdictions sont présentes : si l’homme

ne respecte pas les interdictions, il a un châtiment. Mais s'il les respecte, il obtient

une récompense.

Il nous parle ensuite de son point de vue sur l’adaptation des hommes à agir

différemment selon leurs jugements suite à une réflexion. En effet, pour nous faire

parvenir son raisonnement il s’appuie sur la connaissance qu'ont les hommes. Ils

utilisent leur raison face à diverses situations pour pouvoir déterminer une action.

Pour le philosophe, la liberté ne se base pas sur nos sens mais sur la détermination

indépendante qu’on a d’elle.

Néanmoins, pour lui, l’homme n’est pas toujours libre : l'instinct passe des fois

par-dessus la raison. Effectivement, quand l’homme se résout à utiliser son instinct

de survie, ce n’est pas par conviction mais par manque de réflexion. Par exemple,

une main se retirera instinctivement d’une source de chaleur intense (comme mettre

sa main sur un fer à repasser).

Mais est-ce que la liberté qu’ont les hommes est la même pour les autres êtres,

comme la pierre, dont nous parle Thomas d’Aquin ?

Les autres êtres eux, n’ont pas forcément le choix. En effet, certains “être agissent

sans discernement, comme la pierre qui tombe”. Par là, d’Aquin généralise les objets

par cette pierre, celle-ci est passive et elle subit la situation. Elle n’a pas de raison et

c’est

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