Peut-on désirer Sans Souffrir ?
Rapports de Stage : Peut-on désirer Sans Souffrir ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar CLR7791 • 23 Mai 2013 • 1 254 Mots (6 Pages) • 866 Vues
Dans « L'existentialisme est un humanisme », tirant les conséquences « morales » du principe existentialiste : « L'existence précède l'essence », Sartre en conclut que nous sommes radicalement libres, et par suite radicalement responsables. Si « nous sommes condamnés à être libres », c'est que nous devons assumer une liberté que nous n'avons pas choisie, mais qui nous définit. La philosophie de Sartre est un philosophie de la liberté, dont les prémisses reposent sur la fameuse formule : « L'existence précède l'essence ». La conséquence la plus immédiate de ce principe est que « l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait ». Nous sommes tout entier liberté, libres -dans les limites de notre condition, de notre situation- de nous faire. Aucune nature humaine, aucun destin ne dicte notre conduite. La liberté est ici l'absence de norme qui préexisterait à notre action.
Résumé
Dissertation de philosophie de niveau terminale scientifique, posant la question suivante : Qui suis-je ? Sont abordées notamment les notions d'intériorité et d'extériorité du JE. Vous y trouverez également des références à de célèbres philosophes. Dissertation de 3152 mots.
Extrait:
Il n'est pas rare que l'on ait à justifier de son identité en répondant à la question "Qui suis-je ?". En effet, la question soulève chez chacun d'entre nous le problème de l'identité du sujet. Le sujet s'oppose tout d'abord à l'objet, le premier désignant le moi pensant ou percevant tandis que le second correspond à ce qui est perçu, à ce qui est pensé. Il convient cependant, dès le départ, de différencier le sujet psychologique qui définit l'individualité et permet de distinguer une personne d'une autre, du sujet universel, à savoir le sujet de la connaissance qui attribue à chacun d'entre nous des propriétés communes ...
Qui suis-je : indubitablement et sans aucune réserve :
Alain Zalmanski.
Réponse exacte et tout le reste n'est que philosophie
La question « qui suis-je ? » rappelle le commandement fait par Apollon à Socrate : « Connais-toi toi-même ». En sachant qui on est, on s’occupe de soit, on sait comment réagir face à certaines situations, comment se comporter vis à vis de certaines personnes, etc.…La connaissance de soi est la préoccupation de chaque individu. Nous sommes tous amenés à nous définir par des qualités, des défauts, des désirs : c’est ce qui constitue notre caractère, ce qui forge notre personnalité. A travers ces deux notions, nous prétendons donner une réponse objective et incontestable. Il est vrai que l’on peut se présenter (nom, prénom, âge…) puisque nous avons tous un état civil mais est-ce que je fournis pour autant une réponse exacte ? Sur quoi repose l’exactitude ? Les mathématiques fournissent des réponses exactes ; il en est de même dans les sciences et la physique. L’état civil et le caractère peuvent-ils fournir une réponse exacte à la question « qui suis-je ? » ? L’état civil peut puisqu’il est incontestable mais le caractère ? Savons-nous toujours qui nous sommes ? Suffit-il d’être soi-même pour se connaître ? Selon Sartre, l’individu ne sait pas toujours qui il est, il est en constante recherche sur lui-même.
De plus, l’aliénation n’est-elle pas une preuve que l’on ne sait pas toujours qui nous sommes ? Sommes-nous toujours conscient de ce que nous faisons ? Les réponses à ce sujet sont donc multiples et complexes.
Nous verrons tout d’abord, que derrière la question « qui suis-je ? » il y a une volonté de se connaître. Ensuite, nous verrons que l’anthropologie peut en partie répondre à cette question. Enfin, nous étudierons certains troubles mentaux qui ont des répercussions sur l’individu atteint.
Définir exact = accompli, ajusté, conforme à la réalité, vrai.
=> Poser la question de l'être: je suis ou je deviens?
Nature humaine ou essence de l'humain (existence?)
PREMIERE PARTIE:
Une réponse: quel est ce je qui dit je?
-par exemple Descartes: "Je suis une chose qui pense".
POUR UNE DEUXIEME PARTIE:
Réponse exacte? Qui pense?
a)
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