Nos Souffrances Nous Contraignent-elle A La métamorphose ?
Recherche de Documents : Nos Souffrances Nous Contraignent-elle A La métamorphose ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar tibs63 • 4 Février 2013 • 656 Mots (3 Pages) • 864 Vues
Notre enfance est le point de départ de notre vie, c'est la que l'on apprend a être ce que l'on sera plus tard, on nous enseigne notre éducation, notre personnalité … Mais l'enfance ne se passe pas toujours comme on l' a souhaité malheureusement et c'est elle qui fera ce que nous somme étant adulte. Nous nous poseront donc une question, celle de savoir si nos souffrances vécus lors de l'enfance nous contraignent a la métamorphose au cours de notre vie ? Nous verrons que d'une part il est vrai que cela influe fortement sur notre future et dans une seconde partie que notre chemin n'est pas obligatoirement tracé si nous avons eu une enfance difficile et même au contraire.
Selon Boris Cyrulnik les enfants qui on été les plus malheureux ont été les enfants de malades mentaux, de parents maltraitants et ceux qui n'ont pas pu trouver de substituts affectifs. Il est vrai que des enfants maltraités ont de fortes chances de le reproduire car ils n'auront eus que cette vision de l'éducation dans leurs vies. La plupart des serials killeurs sont ceux qui ont subis de fortes perturbations durant leurs enfances et qui n'ont pas su se relever durant leurs vies, ils n'ont pas eu le soutien assez fort pour pouvoir s'en sortir.
Cependant on utilise le terme de résilience qui signifie la capacité d’échapper à un destin trop tôt marqué par la souffrance, à puiser en soi des ressources vitales pour se construire une vie épanouie et réussie malgré les traumatismes et handicaps majeurs de tous ordres. Chacun de nous est capable de s'en sortir même après de lourdes épreuves . La résilience n'est pas une exception a la règle car plus de 2/3 des enfants se remettront de leurs souffrances et auront une vie normale, ils faut juste qu'ils trouvent leurs résilience car c'est une capacité naturelle de l’être humain.
Boris Cyrulnik remet en cause le fait de devenir obligatoirement le fait de devenir violent si on a subi des violences étant petit . Car après une longue étude il découvrira que ce n'est pas obligatoirement le cas et même que ceux qui ont eu la vie la plus dure sont ceux qui ont eu la vie la plus épanouie et donc sauront mieux faire face aux aléas de la vie que les autre. Il faut juste trouver le déclic qui pourra faire changer la personne, c'est un parcours long avec des hauts et des bas. Il faut juste trouver le « pourquoi je souffre ? » et ils sauront trouver le « comment vais-je faire pour m'en sortir ? »
Beaucoup de gens qui était destinés a un future tracé, ont réussi a s'en sortir et même souvent mieux que les autres, il suffit juste de trouver sa résilience et de la garder car il en faut peu pour qu'un souvenir du passé revienne et nous perturbe. Il faut juste trouver sa résilience et faire de son passé morbide et blessant quelque chose de beau et humain, il faut juste passer ce cap . Boris Cyrulnik dit « Lorsqu’un grain de sable pénètre dans l’huître et l’agresse, l’huître doit se défendre en sécrétant de la nacre. Cette réaction de défense donne un bijou dur, brillant et précieux : la perle » Ce qui signifie que sans blessure, pas de perle. Il faut juste savoir ce que l'on va faire de ses blessures.
Nous avons don vu que l'enfance est la base de notre vie et que ce qu'il s'y
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