Le rêve d'Icare

Le rêve d’Icar, un mythe qui reste d’actualité.

La vie actuelle à bien évoluée dans de nombreux domaines mais les rêves des hommes sont belle et bien restés les mêmes.

Notamment le souhait de pouvoirs voler, aussi libre et équilibré qu’un oiseau, défiant toute gravité, défiant la vie « en se prenant pour Dieux ». Certaines personnalisées comme Stéphanie Gilmore, triple championne du monde de surf ou thomas Ray, chercheur sur le concept de vie artificielle nous le démontre. Toutes nos activités telles que les sports ou les divertissements sont orientés vers ses souhaits par exemple le saut en parachute, le saut à l’élastique, l’alpinisme, l’apnée, le ski et le deltaplane.

Le désir de dépasser ses limites d’Icar en volant plus haut et toujours présent mais tout comme dans ce mythe, il peut couter la vie comme pour Marco Simon Celi décédé lors d’une compétition de moto GP.

Le ciel a fasciné et fascinera toujours car il reste inaccessible tout comme le soleil c’est pour cela que de nombreux chercheurs et de nombreuses technologie sont étudiées pour y accéder.

Icar est son père cherchent à s’échapper de leurs labyrinthe, de leurs quotidien. La routine au cœur de notre société fait partie de ce que redoute beaucoup d’homme. Certains abus tels que la drogue ou l’alcool sont pour certains un moyen d’y remédier. Et pour d’autre leurs moyen de s’évader reste plus conventionnelle comme partir en vacance, écouter de la musique, dessiner ou encore faire de la photographie comme Emile Vernan.

De bonnes conditions humaines restent le premier vœu des êtres humains, une vie sans pauvreté, sans analphabétisme avec un avenir radieux. Les ails d’Icar correspondent, d’après moi, à notre époque à l’argent, clefs de l’échappatoire et de la réussite. Notre système est basé sur l’argent d’où l’importance des études et de l’ascension professionnel à l’heure d’aujourd’hui.

Le rêve serait en fait de transformer complétement l’homme, ses habitude, ses sentiments, ses réactions, sa nature profonde. Nous pouvons le remarquer dans les actions du chercheur Peter Gleick sur les habitudes des hommes pour le réchauffement climatique.

Ses hommes et femmes avec tous leurs rêves leurs courage et leurs créativité contribue néanmoins à l’évolution de l’espèce et à leurs avancer même s’il engendre des risques. L’homme qui ne rêve plus ne vie plus.

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