Icare: un malaise mythologique
Commentaire d'oeuvre : Icare: un malaise mythologique. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar madperma • 8 Avril 2014 • Commentaire d'oeuvre • 694 Mots (3 Pages) • 801 Vues
Icare; un malaise mythologique.
Icare est une pièce de théâtre mise en scène par Victor Pilon et Michel lemieux et écrite par Olivier Kemeid. Cette pièce est l'adaptation d'un mythe datant de l'antiquité grecque à saveur moderne. La pièce était en représentation au Théâtre du Nouveau Monde.
La pièce prend place alors qu'Icare arrive et vient rejoindre son père, les deux se disputent à savoir si le travail de dédale et son sens cartésien sont importants. Dédale quant à lui s'attaque à l'esprit lunatique de son fils, le critiquant amèrement. Le labyrinthe du mythe originel prend place métaphoriquement en le conflits entre les deux personnages et la folie qui habite l'âme des deux protagonistes. Malgré leurs efforts communs de se rallier, les deux cherchent quelque chose d'autre, quelque chose qui n'existe pas, mais qui est pourtant tout opposé. Finalement, Icare meurt en atteignant son objectif spirituel représenté sous la forme d'une étoile. Les dialogues dans la pièce n'atteignaient jamais le bon niveau de langue, il était toujours trop changeant passant d'excellent à faible voir familier. Le rythme de la pièce était peu entrainement, comme une longue stagnation qui empêchait l'histoire mythique de
complètement se développer. Le fait que les auteurs ai décidé d'utiliser un français de type '' international'' pour les dialogues des personnages ma empêcher de crée une connections au niveau de la langue avec la pièce.
Renault lacelle-bourdon qui interprétait Icare et Robert Lalande qui avait pour tâche d'animer le rôle du père d'Icare; Dédale. Pour le jeu des comédiens j'ai constaté les efforts de Renault lacelle-bourdon dans son interprétation d'Icare, son jeu était bon, mais ça performances de danse ma réellement déplus, elle manquait souplesse et les que peu gracieux, ce qui la rendait ridicule. Sa qualité d'orateur était bonne, Renault avait une très bonne projection, mais elle ne paraissait pas juste vu la qualité des dialogues. Robert Lalande quant à lui semblait avoir plus d'expérience en tant qu'acteur il semblait réellement être le père d'Icare et je me suis laissé aller à son interprétation de la situation mentale précaire de Dédale. Robert représentait la folie avec une finesse et une facilité qui m’a grandement surpris. Robert aussi avait une très bonne projection et il m’a plu de l'entendre jouer son texte. La différence de niveau entre les deux acteurs faisait contraste dans le cadre de l'échange des dialogues, ce qui brisait et empirait de façon tragique les défauts que Renault présentait dans son interprétation.
La mise en scène faite par Victor Pilon et Michel Lemieux est digne des plus grands. Elle rend réellement hommage à ce mythe antique. Les costumes étaient minimalistes tout comme le décor, mais cela laissait plus de place à la puissance technique phénoménale de cette pièce qui réside dans les effets de quatre dimensions qui rajoute un effet mystique à la pièce, déjà un mythique à ses racines. Les hologrammes qui se promenait sur la scène apportent un renouveau dans la création théâtral, cette innovation technique permet de nouvelles possibilités au niveau de la mise en scène et permet
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