Le monde raisonnable de Truman

Chacun de nous accepte la vérité à laquelle il est confronté

Truman préfère sa cellule

C’est ce qu’il connaît

Il n’y a pas plus de vérité à l’extérieur qu’à l’intérieur du monde où vit Truman

Il n’y a rien à craindre dans ce faux monde

La peur nous retient de partir

Prisonnier d’un monde qu’il n’a pas choisi, il est instrumentalisé aux divers retournements du scénario, qui prime tout. Mais c’est également un film sur le choix et le libre-arbitre. Quand Truman comprend ce qui lui arrive, il redevient maître de sa vie et de ce qu’il veut en faire, comme le seul personnage vivant de l’ensemble, qu’il a toujours été.

Pour Truman la réalité n’est nulle autre que ce qu’il perçoit, c’est-à-dire le monde sensible. Tout comme les hommes se trouvant au fond de la caverne pour qui la réalité est définie par les ombres.

Ce monde sensible est défini par les objets matériels. Truman a grandi dans ce monde où il n’a jamais manqué de rien.

Truman vit dans le monde sensible, ce dernier, défini par les objets matériels. Dans ce monde, Christof s’est toujours assuré que Truman ne manque de rien.

Christof joue le rôle d’un Dieu dans le film. Il fait partie du monde supérieur, le monde original. Il connaît la vérité alors, il a le contrôle sur la vie de Truman.

Ressemblance : Tout comme l’homme dans la caverne, Truman vit dans le monde sensible, seul monde qu’il connaît, défini par les objets matériels. Il accepte cette vérité, c’est-à-dire ce monde, car c’est dans celui-là qu’il y est confronté tous les jours et donc, semble être la vérité pour lui. Comme on peut le remarquer dans le film, Truman vit ses journées comme toute personne normale. Il est marié, possède un emploi, une maison, etc. Il suit le mode de vie qu’on lui a proposé sans aucun souci. Comme l’homme dans la caverne qui ne cherche pas à connaître la vérité parce qu’il pense vivre dans le monde intelligible. La vérité, selon l’homme et Truman, n’est nulle autre que ce qu’ils perçoivent du monde dans lequel ils vivent, le monde sensible.

Truman ne veut plus vivre cette vie.

Différence : L’homme ainsi que Truman

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