Explication De Texte: Lettre à Ménécée d'Epicure
Note de Recherches : Explication De Texte: Lettre à Ménécée d'Epicure. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 17 Décembre 2013 • 333 Mots (2 Pages) • 1 928 Vues
Ce texte est une lettre adressée à Ménécée par Epicure. Elle traite sur la l’importance de la philosophie. Epicure répond à la question: la philosophie est-elle nécessaire pour les individus? Le philosophe pense qu’elle est importante et argument sa thèse. Tout d’abord Epicure annonce son sa thèse, il affirme que la philosophie est indispensable. Il donne un premier argument qu’il illustre par un exemple. Puis il donne un deuxième argument pour conclure sur l’importance de la philosophie pour le bonheur des individus.
La première phrase nous renseigne sur la position de l’auteur par rapport à la philosophie. Selon lui l’être humain ne peut se passer de philosopher. « Que nul » généralise les propos d’Epicure., cela concerne tous les hommes.
Le premier argument commence à partir de la deuxième ligne du texte, il est introduit par la préposition de coordination « car ». La philosophie serais un moyen d’ « d’assurer la santé de l’âme ». L’âme étant, selon Aristote, la forme immatérielle qui anime le corps humain. Ici l’âme est présentée comme une partie du corps humain qu’il faut prendre soin. Il insiste sur la fait qu’il n’y a pas d’âge pour aborder la philosophie. Epicure illustre son argument par un exemple. Il associe celui qui ne pense ne plus pouvoir philosopher à quelqu’un qui ne croit plus à l’existence de son bonheur. Le bonheur étant un état de bien-être pour une personne, son acquisition est l’objectif de tous les individus.
A la 6e ligne et à partir de « de sorte » l’auteur donne la conséquence de la philosophie sur les individus. Il utilise les termes le « jeune » et le « vieux » pour bien montrer qu’il s’adresse à tous les individus. Il affirme que la philosophie aide à trouver son équilibre dans la vie.
Enfin à la neuvième ligne l’auteur conclut son argumentation. Il encourage la méditation « sur ce qui procure la bonheur ». On pourrait rapprocher la méditation à la philosophie, ce qui rejoint la thèse de l’auteur.
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