A-t-on besoin d'apprendre à être libre?

- nature de l'homme libre. «  partout l'homme est née libre, et partout il est dans les fers »ROUSSEAU

- il ne suffit pas à l'homme de survivre(tel un esclave ou un ermite qui se suffit des besoins primaire)

- nécessaire pour s'intégrer dans le pacte sociale ===> naissance des responsabilité.

- en puissance/ en acte

transition : mais n'est-ce pas plutôt chaque enseignement qui nous écarte de l'aliénation ?Ainsi la question de la nécessité est primordiale, nous pouvons considérer que chaque chose que l'on nous enseigne est un pas de plus vers la liberté.

III) l'éducation c'est apprendre à être libre. L'éducation en elle même qui nous apprend à être libre « nous pourrions donc supposer que la véritable question n'est pas de savoir si il est nécessaire d'apprendre à être libre mais plutôt de se dire qu'il est nécessaire d'apprendre POUR être libre.

-Hannah Arendt. La crise de la culture.

- en puissance/ en acte

Transcendance de notre être. Notre liberté s'acquiert donc au fils de notre vie, elle constitue un accomplissement de la vie, et du bien vivre. C'est une transcendance qui n'est pas idéaliste mais rationnel dans le sens ou la liberté ne peut s'exprimer que dans la réalité===> devenir sur-homme, la fin d'un apprentissage, s'est être totalement clairvoyant sur le monde qui nous entoure ==> devenir sage. Fin de l’aliénation

Ainsi nous avons pu voir que l'apprentissage de la liberté n'est pas utile en soi, nous pouvons vivre en étant esclave et quand bien même, nous pouvons considérer que la liberté est inné et quelle ne nécessite aucun enseignement. Cependant nous avons pu rétorquer avec Platon que le tyran qui croit faire ce qu'il veut n'est en fait pas libre, car la liberté s'est aussi et surtout s'imposer des limites. L'apprentissage de ces limites ce fait tout au long de notre vie, Jule Renard nous indique dans son œuvre «  Il faut que l'homme libre prenne quelquefois la liberté d'être esclave ». car l'être qui sait réduire sa liberté acquiert paradoxalement une liberté totale, il ouvre ainsi son champ des possibles, le renoncement va permettre à l'homme de ne plus penser pour lui-même, il s'intègre dans une dimension sociale, pour devenir plus que soi-même, un sur-homme qui s'intègre dans un tout.

TOUT EDUCATION EST UNE EDUCATION A LA LIBERTE. Ainsi la liberté se caractérise par l’absence de contrainte. Par la contrainte entendons là au sens Rousseauiste, et qui s'oppose donc au terme d'obligation. Rousseau nous explique un processus de liberté original. L'obligation est un choix, elle repose sur notre liberté d'adhésion à une chose, or la contrainte suppose le péril de notre intégrité, on agis sous la contrainte pour préserver son être. Ainsi l'homme poserait certaine limite à sa liberté pour vraiment en jouir pleinement. Si l'homme s'impose ses limites, il est clair qu'elles ne sont pas universelle et qu'elles sont propre à chacun, l'enjeu donc serait de déterminer des limites universelles à la liberté. Mais qui dit enseignement dit enseignant, alors ces limites découle donc de l'éducation que l'on reçoit ou peut-on les acquérir par nous-même ? les limites de notre liberté doivent-elles être apprise ou découlent-elles simplement d'une morale innée ? L'enseignement de la liberté n'est pas utile.

Introduction :

A Athènes au IV avant J-C la paideia qui signifie « éducation » était l'un des piliers de la société démocratique athénienne ou l'on apprenait aux citoyens la rhétorique, la gymnastique, la grammaire, pour faire de ces hommes de véritables citoyen démocrate, libre. Ainsi à-ton besoin d'apprendre à être libre ?

Ils nous apparaît très vite une certaine incohérence dans la question. Comment relier une notion ou s'exprime l'extériorité(l'éducation) dans le sens ou celle-ci nous est donné par autrui et la liberté qui de fait est une notion d'intériorité, dans le sens ou je peux me saisir de l'idée de liberté ou tout du moins je peux me la représenter sans avoir recours à une expérience,

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