A quoi cela ressemble et qui distingue sa machine humaine: il s'agit du corps et des sentiments.
Commentaire d'oeuvre : A quoi cela ressemble et qui distingue sa machine humaine: il s'agit du corps et des sentiments.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar nour2323 • 19 Mai 2015 • Commentaire d'oeuvre • 323 Mots (2 Pages) • 1 035 Vues
J'aperçois: ici il ne s'agit plus de voir avec ses yeux une machine mais il s'agit d'apercevoir ce qu'on ne voit pas avec les yeux: la liberté ne se voit pas.
On aperçoit avec son esprit et avec sa raison on compare, ce qui se ressemble et se qui diffère.
machine humaine: il s'agit du corps et des sens.
différence: si l'instinct fait tout dans l'animal, ce n'est pas le cas chez l'homme. L'homme concourt c'est à dire collabore avec la machine en qualité d'agent libre c'est à dire comme auteur d'une action qui correspond à un choix délibéré.
Ainsi, alors que l'animal choisit et rejette instinctivement l'homme choisit par un acte de liberté.
ce qui fait que: maintenant Rousseau tire les conséquences de ce qui vient d'être écrit. Même quand cela assurerait sa survie, le mécanisme de la bête suit la règle selon laquelle il a été construit. Au contraire l'homme peut s'écarter de ce mécanisme naturel et parfois il lui en coûte très cher. Sa liberté lui fait du tort.
Rousseau donne des exemples pour illustrer sa thèse: c'est ainsi que signifie, par exemple.
Si le pigeon meurt de faim à côté d'une nourriture, de la viande, c'est parce qu'il ne peut s'écarter de la règle qui le contraint nécessairement à manger des graines. Si le chat meurt de faim près de fruits et de graines, c'est qu'il ne peut s'écarter de la règle. Pourtant il aurait été très avantageux pour le pigeon et le chat de manger la nourriture qu'ils avaient à leur portée.
Les hommes dissolus: ceux qui font des excès, des orgies sans modération, s'écartent de la règle naturelle au risque de tomber malade ou même de mourir.
L'esprit déprave les sens: dépraver c'est altérer, détourner d'un mécanisme naturel bienfaisant: la liberté de goûter à tout excessivement écarte les hommes de la frugalité naturelle.
Quand la nature se taît: quand l'on est rassasié, que le besoin est endormi ...
La volonté parle encore: la volonté exige toujours plus.
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