Les sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances

Les sens ne sont-ils pas suffisants pour nous fournir toutes nos connaissances ?

Les sens tels que nous les connaissons sont innés, ils semblent être la fonction première de notre rapport au monde , ils sont universels semblables et commun à tous, présent au commencement même.

L'exemple du nouveau ne qui avant même de pouvoir entreprendre la moindre exploration est déjà mis en contacte ,en relation avec le monde, avec autrui, et avec lui même grâce aux sens fait qu'il n'est pas sans rien savoir de la réalité .

On peut donc penser que les sens permettent au monde de se donner de lui même a nous sans que nous ayons besoin de rien faire d'autre ; ce que nous pouvons mettre d'ailleurs en parallèle avec des situations où nous nous efforçons de prendre connaissance de lui scientifiquement , d'agir de manière constructive et technique sur lui, d’enquêter et d'explorer. Cette mise en parallèle nous permet de caractériser la sensibilité donc l'usage premier des sens comme réceptivité et passivité pures.

Les sens semblent ainsi nous fournir des connaissances de la façon la plus simple le plus naturelle et la plus anciennes mais toutes nos connaissances nous sont -elles fournis par les sens ou bien certaines viennent d'autres sources ?

Ne peut on pas également penser que même dans les connaissances qui nous viennent purement des sens d'autres fonctions doivent être activé pour rendre réelle ces connaissances? Des fonctions comme la tradition , l'instruction, la réflexion le calcul ainsi que des fonctions comme la raison ou l'entendement .

Ne peut on pas penser que lors d'explorations et d’enquêtes la connaissances est acquise par l’expérience même si a la base on pensaient savoir de manière innée grâce aux sens ?

La connaissance ne sera t elle pas totalement acquise qu’après l'intervention de ses autres fonctions qui elles ont leurs propres principes d'organisation ?

Si tel est le cas ne peut on pas dire que du coup la sensibilité perceptive et réceptives ne font pas tout ?

Commençons d’or et de jas par éclaircir et définir les termes « sens » et « connaissance  » présent dans notre problématique .

Envisageons d'une part que nous entendons par « connaissance »le savoir quelconques indépendant de son degrés de vérité et que nous d'autre part nous entendons le terme « sens » par fonction de notre esprits qui nous mets en relations direct avec le monde sans que nous ayant besoin d'intervenir de manière consciente , nous pouvons reconnaître que dans ce cas ils y a beaucoup de chose dont nous pouvons avoir connaissance autrement que par l’expérience pure des sens. Il est clair qu'a ce moment la les sens qui sont considérés comme fonctions de l’esprit ne sont pas suffisants pour nous fournir toutes les connaissances quand ce terme est pris au sens le plus large .Pourtant nous sommes obliges d'admettre qu'aucune de de ses connaissances acquise autrement que par les sens n'utilise pas un des canaux sensoriel. Ils sont donc indispensable a toutes forme de connaissance mais pas suffisants .

Or nous devons rajouter a ça la valeur de la connaissance qui prend alors toute sa signification une connaissance doit être objective et fiable. En effet l’expérience sensible ne permet pas systématiquement la connaissance dans son cote des plus réel , on doit rajouter a celle ci la connaissance acquise par d'autre moyens comme l’éducation qui est tiré d’expérience sensible mais non personnelle et qui permet a chacun de rendre sienne les connaissances . Prenons l'exemple suivant si nous voyons un chien seuls l'apprentissage nous permet de dire que c'est un non seulement un être vivant a 4 pattes mais de rajouter que cela s'appelle un chien .Cela n'exclut en rien l’expérience sensitive qui permet de

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