L’aliénation et l’idéologie capitaliste
Analyse sectorielle : L’aliénation et l’idéologie capitaliste. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nezramo • 4 Janvier 2015 • Analyse sectorielle • 284 Mots (2 Pages) • 792 Vues
Karl marx est un penseur allemand du 19e siecle.il est l’un des précurseur de la sociologie et ses études ciblebront éssentiellement les changements sociaux notamment à travers la lutte des classes.Par cette approche du changement sociale il travailla entre autre sur l’aliénation du travail et l’idéologie religieuse.
L’idéologie se présente comme un ensemble d'idées constituant un systèmephilosophique et conditionnant le comportement de ses adeptes. Le terme véhicule une connotation péjorative et désigne couramment un ensemble d'idées vagues et mystérieuses qui prône un idéal irréaliste etjustifie des actions radicales.
Quand à la notion d’aliénation C'est un concept philosophique. L'aliénation (du latin alienus qui signifie étranger, autre) est la perte de soi dans un autre. PourMarx le travail est aliéné, l'argent commande en maître. Les produits de l'homme échappent à son contrôle et prennent des formes abstraites qui deviennent des réalités oppressives. C’est ce qu’ildévellopera dans " Les Manuscrits de 1844 ", où son étude se consacre sur l’exemple du travail aliéné.
1. l’aliénation et l’idéologie capitaliste
A) l’idéologie capitaliste selon Marx
PourKarl Marx, l'idéologie est l'ensemble des idées, des valeurs et des normes servant à légitimer la division en classes de la société.
Il présente le capitalisme comme un régime économique et social tenduvers la recherche du profit, l'accumulation de capital : le principe fondamental étant la recherche systématique de plus-values obtenues grâce à l'exploitation des travailleurs par les propriétairesdes moyens de production et de distribution. Leur but est de transformer la plus grande partie possible de ces plus-values en capital supplémentaire qui engendrera à son tour davantage de plus-values.C’est un régime dans lequel les travailleurs ne sont pas propriétaires de leurs outils , mais seulement de leur force de travail : on parlera alors de prolétariat. Ces prolétaires dénonceront ce
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