La notion du bien
Analyse sectorielle : La notion du bien. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Eternel • 6 Février 2014 • Analyse sectorielle • 927 Mots (4 Pages) • 901 Vues
D'après le mythe Eros, les idées du concept de Bien ne sont pas concrète. Nous recherchons le bien parce qu’on ne le possède et parce qu’il provoque notre ignorance.
Le bien est un concept anhypothétique, il n’a pas besoin d'hypothèse préalable pour exister. Pour diffuser cette idée il faut connaitre le monde sensible, le monde intelligible.
Un homme de bon peux être vertueux, doué, habile, estimable. Il transmet un message de paix, d’espoir.
Dès lors, il faut se questionner sur notre place et l’action que nous pouvons effectuer dans notre monde, c’est à dire dans nos sociétés. Qu’est ce qui ferait de nous vraiment des «de bien» ? Faut t’il suivre les lois de nos sociétés établis au cours des siècles ? Le bien est il lié à un respect des institutions et des dogmes ? Ceci, ajoutéé à la perte du sens du terme bon, gentil peux nous questionner. Qui est véritable méchant, mauvais dans notre société ? Dans toute l’es civilisations l’homme a su trouver une représentation du bien et du mal, du ying et yang en asie, antiquité blanc lumière antiquité le bon, paradis et l’enfer, l’obscurantisme et le siècle des lumière. Ces questions peuvent nous amener à reflechir. Réalistement la société actuellement est assez «bonne» pour survivre évooluer s’adapter produire,
Dans quelle mesure l’action de diffusion du bien transcende le temps, les sociétés mais pose la question entre le bien personnel et le bien commun ?
I Le message du bien
Faire le bien c’est tous dabord réfléchir sur ces actes, ces paroles. Le bien se défini par l'utilité collectivité, l’idée du bien commun que Platon introduit dans la république. Pourtant, on peut dés lors introduire la césure entre le bien public et le bien privé.
Dans l'analyse qu'a fait Kant, l'expression du « Souverain bien » désigne tantôt l'idée de quelque chose de digne, de probe, ce qui n'est relatif qu'à la morale, et tantôt un état où l’on se sent satisfait d’avoir fait le maximum voir toute les choses possibles.
L’aide à autrui ou à une entité crée par l’homme peut témoigner de ce message du bien. On peut parler de l’honnete homme. Au xviie siècle, l’honnête homme a une culture générale étendue et les qualités sociales propres à le rendre agréable . Homme de cour et homme du monde, il se doit de se montrer humble, courtois et cultivé mais aussi de pouvoir s'adapter à son entourage. Au nom de la nature, il refuse tout excès et sait dominer ses émotions. Il est le représentant de l’homme de bien envers autrui à cette époque.
II L’apport à notre société
On différencie le « Bien », valeur catégorique, suprême, idéale, et le « bien », état relatif et restreint. C’est la différence entre le concept et l’action.
Fondement de nos société occidentale est le christianisme apporte l’idée du respect de son prochain. A la base, elles sont basées sur l’amour que dieu nous donne dans la bible. Pourtant, on sent une perte de confiance en Europe envers la religion du vatican. Est ce l’homme qui devient mauvais ? La société reflète t’elle ce changement de vocation
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