La Gangrenne Du Monde
Rapports de Stage : La Gangrenne Du Monde. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar bdghd • 28 Avril 2014 • 1 453 Mots (6 Pages) • 780 Vues
Il est écrit dans le livre de Platon La République que les sociétés sont un peu comme des humains prisonnier d’une caverne. On appelle cette situation, inventé par Platon, l’allégorie de la caverne. Bon si on la met dans un contexte qui est plus dans notre époque, on pourrait dire que la caverne est un peu comme une salle de projection ou une salle de cinéma. Si des humains étaient assis sur les bancs d’une salle de cinéma, avec aucune possibilité de bouger ou d’enlever leur regard de la toile ou est projeté par un projecteur, des images. Des images et des sons qui représenterais la réalité pour ces humains qui sont la depuis leur naissance. Ces images, qui peuvent être tout se que la personne, qui a produit le film, avait envie de leur faire voir. C’est prisonnier, s’ils avaient la possibilité de parlé entre eux durant une pause de projection, ils parleraient a coup sur de se qu'’ils verraient devant eux. Chacun convaincue que se qui se passe en face deux, est la réalité. Ces prisonniers qui n’ont pas non plus conscience deux même, n’ont pas conscience qu'’au bout de la salle, il y a une porte, derrière la porte, le monde. Ensuite, Platon demande se qui arriverait si l’un des prisonnier était libérer, tranquillement mener vers la porte pour l’ouvrir pour découvrir la lumière qui si cache? Il nous dit que le prisonnier aurait mal aux yeux, lui qui a passé toute sa vie dans la pénombre, il aurait mal au membre car il ne les as jamais utilisé. Le prisonnier qui a cause de l’éblouissement, ne verrait pas le projecteur qui projette l’image qu'’il voyait auparavant. Si quelqu’un lui disait que se qu'’il voit maintenant est réel et se qu'’il voyait sur la toile ne l’était pas, il ne le croirait pas. Il trouverait l’image beaucoup plus real que le projecteur qui à l’ origine même de cet image. Platon nous dit aussi, si on le forçait a regarder la lumière elle-même, il aurait mal aux yeux et voudrais alors se retourner vers les images qu'’il connait. Il considèrerait même ces images comme était plus claire a ses yeux que la lumière qu'’il a aperçu dehors. Si on tirait le prisonnier par la force en dehors du cinéma, et qu'’on l’obligeait à regarder la lumière du jour, il ne serait pas content qu'’on le force à faire quelque chose qu'’il ne veut pas. Par contre, avec le temps, il conviendrait que c’est une meilleur chose de voir la véritable lumière du soleil que de voir qu'’une ombre. Il lui faudrait un moment pour s’habituer, mais il finirait par convenir que c’est mieux de vivre dans le réel. Par la suite, s’il désirait retourner voir ces images pour sauvé d’autres prisonnier, il remarquerait que ces yeux ne sont plus habituer a la pénombre de l’endroit, les autres prisonniers, dirait de lui qu'’il c’est ruiné les yeux en sortant du cinéma. Alors lorsqu’il désire libérer d’autre prisonnier, ceux si essaieraient de le tuer car ils ne désireraient pas sortir de leur salle.
En Bref, si j’ai bien compris l’allégorie de la caverne et c’est sur cette compréhension que je vais baser ma thèse. L’allégorie de la caverne c’est lorsqu’une personne, vit et de complait dans une réalité pour elle alors que ce n’est pas la réalité, c’est irréel. Si jamais un jour quelqu’un vienne la délivrer, parce qu’il est presque impossible de se délivrer seul, cette personne souffrira beaucoup car elle perdra pour quelque temps tout ces repères. Avec le temps, a mesure qu'’elle recouvrera des repères, elle réalisera que l’univers réel est bien mieux que l’univers faux. L’univers réel serait la nature même des choses et au sens large la nature même de la vie. L’univers faux serait plutôt une illusion de la nature même des choses, en d’autre mot, une réponse différente a la même question, mais qui serait fausse.
Dans cette thèse, je vais tenter de déterminer qui pourrait être les faiseurs d’image. Les faiseurs d’image d’un point de vue contemporain, sont des personnes, des entreprises ou quoi que se soit qui ait un pouvoir sur notre façon de voir les choses. Un parent ou un ami peut être un faiseur d’image pour une autre personne. La thèse que je dois défendre doit donc parler de qui, après des conclusions, pourrait être un faiseur
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