L'histoire Nous Conduit-elle à désespérer De L'homme
Recherche de Documents : L'histoire Nous Conduit-elle à désespérer De L'homme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar parfait01 • 11 Mai 2014 • 574 Mots (3 Pages) • 1 082 Vues
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Philosophie / L'histoire Nous Conduit-elle à désespérer De L'homme ?
L'histoire Nous Conduit-elle à désespérer De L'homme ?
Dissertation: L'histoire Nous Conduit-elle à désespérer De L'homme ?
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Soumis par: Cachou973 29 avril 2013
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INTRO :
Le terme d'histoire désigne deux réalités différentes : la science qui étudie le passé de l'humanité et qui relate et interprète les faits ; et ; les événements, les actes, les faits du passé, c’est-à-dire la mémoire des hommes. L’histoire répète les mêmes violences, les mêmes injustices. Toutes les leçons de l'histoire sont vite oubliées. Les guerres, les conflits sont la désespérante litanie de l'histoire de l'humanité. Mais, les accords, les déclarations montrent une volonté forte de ne pas répéter les mêmes erreurs que par le passé. L'insociable sociabilité pousse les hommes à se cultiver, de même que la guerre et sa préparation doivent logiquement conduire les peuples à fonder une société des nations : le progrès de la civilisation est ainsi la préparation d'une moralisation de l'homme qui le rendra conforme à sa destination essentielle. La liberté, et l'exigence du bien moral qu'elle implique, fondent la recherche du sens, que l'histoire doit permettre de vérifier. Nous allons donc nous poser la question suivante : l’histoire nous conduit-elle à désespérer de l’Homme ? Dans une première partie, nous verrons la violence chez l’homme. Dans une seconde partie, nous nous demanderons si pourtant l'on peut parler de progrès de l'homme dans l'histoire, et nous verrons si l'étude de l'histoire ne nous permet pas plutôt, et malgré tout, de garder foi en l'homme, d'espérer une évolution positive de l'être humain. Enfin, dans une dernière partie, nous nous demanderons si l'homme tire des leçons de son histoire.
I. LA VIOLENCE CHEZ L’HOMME
Les topiques de Freud
II. LE PROGRES CHEZ L’HOMME
Si l'histoire est pour l'homme une sobriété d'être, il n' est pourtant pas possible d'assurer a priori que l'humanité s'achemine vers un bien-être. C'est précisément parce que le changement est inhérent à l'homme qu'on ne peut soutenir le déterminisme absolu de l'histoire. Ortega écrit à ce sujet " je pense que toute vie et partant la vie historique, est composée de p
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