L'Être et le Néant
Analyse sectorielle : L'Être et le Néant. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar elju • 2 Avril 2014 • Analyse sectorielle • 582 Mots (3 Pages) • 645 Vues
L'Être et le Néant
Cet article est une ébauche concernant la philosophie.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion.
L'Être et le Néant
Auteur Jean-Paul Sartre
Genre Essai philosophique
Pays d'origine Drapeau de la France France
Lieu de parution Paris
Éditeur Éditions Gallimard
Collection Bibliothèque des idées
Date de parution 1943
Nombre de pages 722
Chronologie
Précédent L'Imaginaire L'existentialisme est un humanisme Suivant
modifier Consultez la documentation du modèle
L'Être et le Néant est un essai d'ontologie phénoménologique de Jean-Paul Sartre publié en 1943. Le principal objectif de Sartre est d'affirmer que l'existence individuelle précède l'essence individuelle. Sa principale préoccupation en écrivant ce livre était de démontrer que le libre arbitre existe.
Sommaire [masquer]
1 Importance
2 Titre
3 Contexte historique
4 Voir aussi
5 Notes
Importance[modifier | modifier le code]
L'importance du libre choix, conséquence de l'existentialisme athée, et cause de la responsabilité (« l'existence précède l'essence »).
Sartre fait la distinction entre l'« être pour soi » (l'homme conscient de son existence et de sa liberté), et l'« être en soi » (les animaux, la nature, les objets non conscients d'eux-mêmes) et l'« être pour autrui » (l'homme conscient qui se définit par rapport aux autres). Il appelle « mauvaise foi » l'attitude de celui qui se cache sa liberté. C'est un retour historique, et une prise de position, vers l'homme à la fois libre et maître de lui-même, qui se définit à travers le spectre de cette triplicité dans laquelle il fonde un principe de monde sur une ontologie qui se développe à partir d'une position première du « pour soi » comme liberté absolue à travers laquelle il appuie sa phénoménologie de l'être. C'est à l'intérieur de cette idée que s'inscrit toute la puissance et l'originalité de son texte, c'est-à-dire « l'homme est condamné à être libre » à choisir sans raison et avant toute raison et il conclut que « la vie est la passion inutile ».
Titre[modifier | modifier le code]
Le titre provient du monologue de Hamlet de Shakespeare, "to be or not to be", dans la traduction "non servile" de
...