Etude D'un texte d'Henri Bergson sur l'intelligence humaine

Henri Bergson, philosophe du XXeme siècle très connu atteint le sommet de sa réflexion avec " L'évolution Créative" en 1907. Il y partage sa vision de l'Homme ainsi que d'ou vient ce qu'il appelle l'Intelligence humaine. Selon lui se serait l'invention mécanique, la fabrication qui serait à la base de tout. L'Intelligence humaine serait alors caractérisé par tout ce qu'il construit. Le problème d'Henri Bergson est alors de savoir quelle est l'origine de l'Intelligence humaine et comment elle se développe. Nous allons alors voir comment l'auteur exprime son idée en travaillant d'abord sur d'ou vient cette intelligence humaine, qu'il développe dans une seconde partie avec l'exemple de la machine à vapeur pour enfin en arriver à une nouvelle définition de l'Homme. Cependant, nous pouvons nous demander si l'intelligence humaine est vraiment du à l'invention mécanique.

Henri Bergson exprime dans un premier temps que "l'invention mécanique a d'abord été sa démarche essentielle" en parlant de l'intelligence humaine. Ce qui signifie que c'est ce qui la définit, ce qui la qualifie elle est pas autre chose. Il appuie ce terme d'intelligence par l'adjectif humaine, afin de montrer que c'est une intelligence qui est d'une certaine forme supérieur . En effet, l'Homme est capable d'inventé des outils qui mènent à la fabrication de machines qui fabriquent d'autres outils. C'est ce que Bergson qualifie de " route du progrès" qui nous distingues par exemple des animaux, qui ont certes une forme d'intelligence, mais pas aussi développé que celle de l'Homme pour créer des outils. Nous pourrions alors qualifier cette intelligence de fabricatrice, ce qui signifierait qu'elle est originaire de la fabrication.

Cette idée de chaîne dans la fabrication, d'évolution continuelle nous est dorénavant indispensable. Lorsque Bergson emploie le mot "gravite" qui signifie "tourne autour de.." , il appuie sur le fait que nous ne pouvons plus nous en passer pour notre confort et notre travail qu'il évoque dans la "vie social", tel que nous servent aujourd'hui les ordinateurs par exemple. Cependant il fait comprendre qu'il faut du recul à l'idée, " nous avons de la peine à nous en apercevoir ". Quelle soit bénéfique ou au contraire néfaste, l'invention connait toujours un succès, l'humain en est fière et le revendique telle que la centrale nucléaire, avant qu'on ne s'y adapte et habitue et qu'on l'étudie finalement pour comprendre et qu'on se rende compte de ses effets qui peuvent être parfois dangereux pour son propre créateur. Les personnes qui ont vu naitre le téléphone portable par exemple se sont tout d'abord réjouie du temps qu'ils gagnaient pour se contacter, et ne se sont pas rendu compte de l'impact que ça avait. Maintenant que la société l'a pleinement adopté, cet objet de la vie quotidienne à évolué comme l'explique Bergson " les modifications de l'humanité retardent d'ordinaire sur les transformations de son outillages", on se rends compte qu'il n'a pas que des bon côté, leurs visions ont alors changé sur cet objet des années après sa toutes premières apparitions. C'est ce que l'auteur dégage en parlant des "effets profonds d'une inventions se font remarquer lorsque nous en avons déjà perdu la nouveauté". Il parle d'effets profond car, comme pour la route du progrès, l'Homme en fabriquant ces objets il se fabrique lui mêmeOr parfois comme démontré précédemment, l'Homme ne comprends que plus tard l'utilité de la chose, cette intelligence, venant alors de la fabrication progresserais donc dans un avenir imprévu. Peut on alors dire que l'Homme n'a pas alors réellement conscience de sa propre intelligence ?Cependant la thèse selon laquelle l'invention mécanique est la base de l'intelligence et permet aussi de la faire rogresser présuppose que l'on a déjà l'intelligence nécessaire pour fabriquer.

Bergson décide alors de défendre ses propres arguments avec la fameuse machine à vapeur, inventé par Newcomen et Savery et perfectionné par James Watt en 1769. En effet, la machine marqua la révolution industrielle, d'où l'emploi de "secousse profonde" par le philosophe, cette machine entrainant des gains de temps, des changement de mode de travail aussi. Cette machine a entrainé beaucoup de changement dans beaucoup de secteur, mais aussi dans le mode de vie des Hommes. Notamment lorsqu'il évoque des "relations entre les hommes" bouleversées. Effectivement, ce changement de travail pour passer à ce qui a été qualifié de " travail à la chaîne" rends l'Homme robotisé et fatigué par sa nouvelle façon de faire qui lui demande de la régularité dans ces gestes, de plus cette nouvelle industrialisation fait entrer les Hommes dans une nouvelle politique de capitalisme qui engendre alors "des idées nouvelles" comme le dis Bergson mais aussi des "sentiments nouveaux" telle que l'envie de retrouver un peu plus d'humanité et d'égalité, soit des envies de révoltes. Cependant ces envies de révoltes ne marqueront pas l'histoire de l'intelligence de l'homme pour lui.

Bien que selon lui les inventions telle que la machine à vapeur conduisent à des soulèvement, ces derniers ne serviraient à rien fasses au renversement de vie qu'à fait ces inventions, en effet

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