Corpus de textes traitant le combat
Cours : Corpus de textes traitant le combat. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar rollsmar • 27 Mai 2014 • Cours • 302 Mots (2 Pages) • 634 Vues
corpus qui nous est présenté est composé de trois textes. Le premier, un extrait de Gargantua de François Rabelais, humaniste, est publié en 1534 et traite des guerrespicrocholines. Le deuxième, de Victor Hugo, qui est un auteur romantique, est un extrait de Les Misérables, 1862, il raconte l'insurrection en 1832 à Paris. Et le dernier, un texte du pamphlétaireLouis-Ferdinand Céline est extrait de Voyage au bout de la nuit, publié en 1932, il nous décrit la première guerre mondiale selon Bardamu.
Ces trois textes traitent de combats, cependant Rabelais etCéline racontent la guerre, tandis que Hugo évoque l'insurrection. Tous trois emploient pourtant des registres différents. Dans l'extrait de Gargantua, c'est le registre comique qui domine. Dans celui desMisérables on relève principalement le registre épique. Et enfin Céline nous présente un texte tragique.
On relève dans les extraits de Rabelais et de Hugo un point de vue omniscient, alors que dansson texte, Céline utilise un point de vue interne.
On retrouve chez Rabelais et Céline un effet de réel qui est absent chez Hugo.
Céline et Rabelais font une satire de la guerre mais Hugo aucontraire encourage les insurgés à se battre.
On note dans les extraits de Rabelais et de Hugo le champ lexical des armes, tandis que Céline utilise le champ lexical de la guerre en général.
On peutainsi conclure que les trois auteurs évoquent la guerre de façons très différentes, cependant on relève des points communs entre les extraits.
Commentaire:
En 1914 le première guerre mondialeéclate. Cette période a profondément marqué la littérature, notamment en France. «La grande boucherie» a changé les esprits et elle a touché absolument tout le monde. C'est ce qu'évoque Louis-FerdinandCéline, auteur du XXème siècle, né en 1894 et mort en 1661, dans son œuvre Voyage au bout de la nuit, publiée en 1932. Ce livre manque de peu le prix Goncourt, m
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