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Augmentation des Impôts Des Riches

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Par   •  3 Décembre 2014  •  Commentaire d'oeuvre  •  1 576 Mots (7 Pages)  •  722 Vues

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Selon le texte no 7, il existe les 2 principales source d’inégalités immeritées. Celles qui proviennent de la classe socio-économique d’origine d’un individu et celles qui proviennent des différences dans les talents naturels de chaque individu. C’est inégalités sont dites imméritées, car elle ne sont pas résultantes d’une mauvaise prise de décision de la part d’un individu, mais plutôt de la chance de ce dernier. Il parraît injuste aux yeux de ceux qui ont moins été choyés dans par la vie qu’il n’y ait pas une égalité des chances pour tous. Pour enrayer ces inégalités, le gouvernement propose une intervention qui soulève une problématique philosophique au niveau de la société. L’impôt redistributif a été mis sur pied afin de s’attaquer aux inégalités elles-même, et cela en augmentant les impôts sur les revenues les plus élevés. Mais est-ce la bonne méthode d’intervention? Est-il juste d’intervenir dans la vie des gens qu’ils n’ont rien fait de mal, qui ont seulement été mieux disposés à gagner de l’argent que d’autres.

Il devient de plus en plus difficile pour l’État de justifier pourquoi dépenser et sur quoi devont nous dépenser. L’État dit agir pour le bien de la collectivité, cela porte un nom : le service public. Mais ce sont plus les impôts qui entraîne des divergences d’opinions, les critique et les débats de société. D’après certains, la fiscalité n’est pas le bon outil pour réduire les inégalités, c’est plutôt la justice sociale qui doit se contruire sur l’usage des dépenses publiques. Les dépenses publiques se sont considérablement accrues avec les années, le poids croissant de celles-ci demeure dans ce que l’on appelle l’État providence, c’est-à-dire les prestations sociales. La solution consisterais non pas à augmenter l’impôt des riches, mais bien de réduire l’impôt à l’aide de la réduction des dépenses publiques. Il faudrait donc remettre en cause les attentes sociales de la population dont l’utilité sociale ne correcspond plus à ce que la société attend en priorité. D’un autre côté, il y a ceux qui pour eux, l’impôt est la rénumération d’un service rendu par l’autorité publique, service qui doit être fixe dans un monde où les ressources augmentes dû à la croissance. Cette conséquence dite normale, amènera une part des dépenses et de l’impôt à diminuer automatiquement. C’est pourquoi l’État devrait demander plus aux riches qu’aux pauvres, parce que ce sont eux qui sont les principaux bénéficiaires des services publiques tel que le maintien de la sécurité publique ou le fonctionnement de l’enseignement supérieur.

La problématique québecoise sur l’augmentation des impôts des riches est que, souvent, le système d’imposition et les données de base à son propos ne sont pas compris. Les citoyens se disent à la limite maximale de ce qu’ils payer comme impôt et voilà que le Parti Québecois annonce son intention d’augmenter l’impôt des riches en créant deux nouveaux paliers d’imposition. La création d’un 4e palier servirait à ajouter un taux marginal de 28% pour les revenus entre 130 000$ et 250 000$ et un 5e palier, haussant le taux marginal d’imposition à 31% pour tous les salaires dépassant les 250 000$. Si nous tenons compte que ce sont uniquement les sommes d’argents comprises dans ces paliers qui seront touchées, pour la plupart des contribuables visés, cette hausse aura que très peu d’impact sur le taux d’imposition effectif (pourcentage du revenu payé après que la déclaration d’impôt soit remplie) de ces derniers. De plus, si on regarde l’évolution du système d’imposition des années 2000 à 2009 les 100 000$ et plus ont déjà vu leur impôt diminué d’environ 2,2% en 10 ans. Donc même avec cette augmentation d’impôt qu’annoncait le PQ, ces derniers ne pourrait même pas parler de rattrapage face au taux d’imposition de 2000. En somme, avec l’élimination de la contribution santé, une personne faisant 130 000$ ne payera pas un sous de plus d’impôt qu’avant cette hausse. (texte 10) Le parti Québec solitaire, secondait l’intention du PQ en ce qui attrait à la hausse d’impôts des plus nantis. La coalition avenir québec souhaitait aussi abolir la taxe santé, mais ne croit pas que le manque à gagner doive provenir de la hausse des impôts (texte 7). Et pour sa part, le parti libéral du Québec envisage des baisse d’impôt pour les particuliers et les entreprises ainsi que de la réduction graduelle de la taxe santé.(sources)

Pour ma part, je suis contre l’agmentation de l’impôts des riches.

Dév Aujourd’hui, même si une grande majorité de citoyens reconnaît que la fiscalité est un sacrifice essentiel afin d’assurer le financement des services publiques, 55% des Québecois affirment payer trop d’impôt en regard de l’ensemble des services gouvernementaux qu’ils leurs sont offers. Selon l’OCDE, la fiscalité du Québec déborde de la simple notion de l’impôt, elle est conçues et définie

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