L’Art d’avoir toujours raison, Schopenhauer.

BLANC Lilou 1G6

                        HLP, L’Art d’avoir toujours raison, Schopenhauer.

I) Comprendre

1) L’art d’avoir toujours raison est un livre écrit par le philosophe allemand Arthur Schopenhauer, vers les années 1830. Il examine les origines de la formation de l’opinion commun.

Aujourd’hui, ces stratagèmes sont souvent utilisés et difficiles à voir pour les débutants ou les non-savants. Il devient donc nécessaire de les connaitre pour pouvoir les remarquer et se défendre ou simplement ne pas se laisser avoir par ceux qu’ils les connaissent. Enfin, elles sont utilisées par les journalistes, les hommes politiques et par des habitués à être mis en avant à la télévision (Exemple : TF1). Apprendre ces stratagèmes permet donc d’obtenir une meilleure analyse du discours de ceux que nous écoutons où que ce soit.

2) L'auteur examine les origines de la formation de l'opinion commune, il se demande alors :

- Comment une opinion/idée peut-elle être partagée par plusieurs personnes ?

- Qui amène à appliquer l'opinion commune ?

- Qu’est ce qui est subit par les personnes qui sont contre à l'opinion commune ?

Le but de cette œuvre est d’apprendre aux non-savants à se défendre face aux savants.

3)   Mes 4 stratagèmes préférés sont les stratagèmes : 5 - 21 – 31 – 36.

Le stratagème 5 est un de mes préférés car il inclut le fait de montrer à notre adversaire qu’il n’est absolument pas en position de force face à ce que l’on peut détourner de lui. Si à ce moment-là nous avons décidé de le descendre il ne peut rien faire pour se défendre car nous avons plus d’arguments contre lui que lui à contre ce que l’ont dit. Mais nous pouvons utiliser ce stratagème qu’en cas de défense contre son adversaire, si celui-ci ment à la cour alors nous faisons de même mais pas contre la thèse défendue mais contre lui, pour le rabaisser aux yeux des autres et nous faire passer pour savant.

Je serais capable de réutiliser ce stratagème dans une situtation critique, comme l’harlècement. Si ce dernier veut retourner la situation contre moi-même au près d’autres personnes, en racontant des mensonges, je suis en connaissance de ce que j’ai vécu alors j’ai plus d’arguments que lui pour me défendre de ses paroles.

Le stratagème 21 est assez intéressant notamment car il correspond aussi au 5e car, si notre adversaire décide d’utiliser contre nous un argument superficiel nous pouvons le détourner grâce à un autre argument superficiel. En effet, sur ce stratagème nous nous concentrons sur la victoire et non la vérité sinon nous serions en train de perdre un temps précieux pour argumenter alors que nous pouvons tout simplement choisir le mensonge comme notre interlocuteur.

Je pourrais le réutiliser quand je serais au courant du mensonge que mon ami me dit et pour ne pas m’énerver contre lui et embrouiller mes idées je pourrais simplement lui retourner un mensonge.

Le stratagème 31 est lui, mon préféré entre tout ceux présents dans le texte. Il inclut de faire passer son adversaire pour quelqu’un de stupide par ironie.

Nous sommes ainsi en train d’insinuer auprès de l’auditoire que votre adversaire dit des bêtises. Nous faisons usage de son autorité au lieu de chercher à raisonner, et d’une façon mesquine. Et si l’adversaire comprend que nous sommes en manque de moyen pour argumenter et qu’il l’exprime nous pouvons lui dire que nous le trouvons assez stupide mais d’une façon polie.

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