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Culture et art

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Par   •  13 Mai 2018  •  Cours  •  5 678 Mots (23 Pages)  •  637 Vues

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LA CULTURE

On distingue la nature et la culture.

La nature est ce qui n’a pas subit l’intervention ou la transformation du monde humain.

2 sens                l’activité de la transformation de la nature[pic 1]

                le résultat de la transformation[pic 2]

De ce fait la culture est un milieu artificiel, comme une seconde nature que l’Homme invente pour s’adapter à son milieu appelé la culture humaine.

En générale et différente culture propre leurs sociétés et la civilisation grec égyptienne par exemple mais aussi les œuvres d’arts, routes, ponts, le langage, la religion.

La culture relève de l’héritage (religion de mon pays).

La nature relève de l’universel, ce qui est naturel vaut pour tout. Alors que la culture c’est particulier. De plus la nature est absolu (medias) alors que la culture est relative (i médias)

  • On va se demander sur le travail ce qu’est le propre de l’Homme ! Les animaux travaillent-ils ?
  • Est-ce que le travail humanise l’Homme ? Ou au contraire le travail déshumanise l’Homme ?

Dans le travail, on peut distinguer la nature du travail et le devoir du travail, dans certaines circonstances comme le capitalisme.

Etre un artiste c’est être un travailleur, pour devenir un artiste il faut apprendre.

  • L’art est-il une imitation de la nature ?

Est-ce que c’est possible d’imiter la nature ! L’art est peut-être pour réinventer le regard.

Est-ce que c’est utile de faire des doubles ? S’il n’est pas imitation, il est peut-être développement. L’artiste n’imite-il pas la nature plutôt que sa nature ?


I. Le travail et la technique

Sujet de cours : Le travail est-il le propre de l'homme?

 A. Le travail comme activité consciente n'appartient qu'à l'homme : Marx : le capital

(l'abeille et l'architecte)

  1. Les animaux ne travaillent pas (Cf Henri Fabre et les abeilles)

L’abeille recommence la 1ere étape, elle ne passe jamais à la seconde étape. Ces actes sont instinctifs, elle n’a pas de conscience de ce qu’elle fait.

L’Homme se souvient d’avoir agit car il a une conscience et que cette conscience est une mémoire. Bergson dit que la conscience est mémoire. A chaque fois que l’on perçoit quelque chose, on le perçoit avec la mémoire.

On parle d’activité animale pour les animaux, car l’abeille agit mais cette agitation n’est pas pour l’abeille concentrée, c’est instinctif, une programmation. Les animaux sont déterminés physiologiquement, naturellement. Ils sont réactifs.

  1. Le travail (qui est humain par définition) se caractérise par la présence d'une cs et d'une volonté

  1. Présence d'une technique et de la main

Le travail est un savoir faire. Il présuppose une technique, un apprentissage, une méthode.

Les animaux ne-sont-ils pas en possession d’une technique ? Les animaux peuvent être en possession d’une technique. Le bonobo mange des termites, les termites sont dans des termitières. Le trou de la termitière est tout petit. La technique du bonobo est d’effeuiller une branche et mettre la branche dans le trou pour que les termites soient sur la branche. C’est ainsi que le bonobo mangera les termites sur la branche. Cette technique est la même pour toute l’espèce. Il y a un apprentissage chez les animaux. Les animaux ont une technique universel à l’espèce ou particulière à l’espèce. Cependant, l’Homme possède une technique singulière. Il y a la présence de la main. En effet, la main est l’outil des outils. Grâce à la main, on peut se servir de tous les outils possibles.

Leroy Gouhran a écrit le Geste et la parole. L’Homme est devenu intelligent quand il s’est redressé. Les mains sont des organes de locomotions pour se déplacer, au fil de l’évolution ces mains deviennent des organes de préhension. Les mains libres représentent le début de la technique. Le cerveau grossit, on devient plus intelligent. Le bouche ou mâchoire étaient conçu pour manger, déchirer ou couper. Ainsi, la mâchoire régresse et laisse place au langage, la parole. L’Homme n’était pas intelligent à la base.

Ouverture Charlie Chaplin:

- Comparaison d’un troupeau de mouton aux Homme qui vont travailler

- Augmentation de la productivité, rythme, cela abrutie les travailleurs alors que le patron s’ennuie dans le bureau.

Marx « l’ouvrier est l’appendice de la machine »

- Le travail comme déshumanisation, l’ouvrier devient une machine du début à la fin de la journée.

- Les ouvriers n’ont pas le droit de consommer, manger.

- Déshumanisation du travail, on lui donne à manger un boulon, prisonnier de la machine

- Par chance, le patron n’achète pas la machine, car elle ne marche pas, mais cela veut dire que les ouvriers n’auront pas de pause pour manger.

- Charlie s’est fait broyer par le rouage du capitalisme.

- Le capitalisme n’est pas une solution à long terme, Charlie devient fou et va dans un hôpital psychiatrique.

- Quand Charlie travaillait, il était malade mais il guérit sans travail.

- Dommage collatéraux : détresse financière de la famille, la mère est morte, la sœur essaie de s’occuper de ses frères et sœurs, son père est devenu alcoolique, et l’orphelinat veut les séparer.

La détresse économique devient sociale.

- Le communisme est l’ennemi du capitalisme.

Transition : Si travailler est le propre de l’Homme alors on peut y voir un outil ou un moyen pour s’épanouir.

B.  Le travail comme réalisation de soi

  1. L'objectivation :  transformer sa nature en transformant la nature = construire en partie son identité

Objectiver c’est entrer en analyse. Ce qui revient à objectiver son histoire c’est-à-dire la faire sortir et la dire pour quelqu’un d’autre, ici c’est le psychanalyste. En objectivant, je prends du recul, j’objective, je mets une distance. Travailler en objectivant, c’est que je m’extériorise dans la nature, je me mets au travail. La fierté d’être l’auteur d’un travail ou d’une action c’est devenir autonome. Par exemple l’organisation d’un jardin, j’ai transformé ma nature. Cela veut dire être désormais dépositaire d’un savoir faire qu’on ne savait pas tout faire avant. Par conséquent, c’est la construction en partie de notre identité. Au fur et à mesure, on acquit des savoir-faire, « avoir plus de corde à son arc ». On se définit en partie car une personne se définit  grâce à son savoir-faire mais également par nos pensées, nos sentiments, notre ressentie, notre rapport face aux autres.

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