Mon désir est-il une excuse ?

Mon désir est-il une excuse ?

I) INTRODUCTION : pas d'introduction...mais à réaliser selon la méthode...

II) DEVELOPPEMENT en trois parties

1) Répondre au sujet "naïvement" par l'affirmative et développer les arguments.

* le sujet est déterminé par ses désirs/pulsions, forces inconscientes. *sa conscience ne peut maîtriser les mécanismes inconscients (donner des exemples) *le sujet n'est pas libre il au carrefour de trois instances : le ça/le moi/le surmoi. *Il n'y a pas de liberté possible dans la maladie mentale/pathologies qui déterminent le présent et l'avenir : la malade est « excusé » *l'histoire personnelle, la psychologie infantile nous détermine dans nos pensées et nos actions (théorie de la sexualité chez Freud) nous n’échappons pas à nos désirs pas plus qu’à notre enfance

2) Creuser, perturber en l'interrogeant, la première approche naïve.

*la théorie de l'inconscient qui est aussi une théorie des désirs est-elle scientifique, sur quelles hypothèse repose-t-elle? *interroger notre liberté d'interroger toute théorie *se demander si le déterminisme des forces inconscientes, la pulsion de nos désirs sont si importants que cela, car si on ne pouvait prendre conscience des effets de ces désirs, les patients ne pourraient pas guérir. *définir ce que serait le processus de désillusion qui consisterait à prendre conscience de nos propres désirs. *énoncer un problème philosophique à la fin de la deuxième partie : du genre "Si nous sommes déterminés par nos désirs mais que nous prenons conscience de nos désirs, pouvons nous être libre/autonomes et responsables de nos actes?"

3) Répondre au problème posé en constituant une thèse reposant sur des arguments.

*la liberté n'est pas de suivre tous ses désirs, c'est la faculté de saisir ce qui nous détermine à agir : la connaissance de la contrainte nous libère de la contrainte *être libre c'est pouvoir s'approprier son histoire et ses désirs/pulsions *nous sommes toujours libres d'interpréter les signes et notre langage (inconscient) se connaître soi-même comme sujet complexe, c'est devenir responsable de ses actes = conscience morale. * définir ce que c’est pour les hommes désirants que d’être ou devenir autonome. *thèse soutenue " je ne suis pas le maître absolu de moi-même (nous avons des désirs dont on ne maîtrise pas l’advenue), la liberté commence par la prise de conscience de notre servitude (ce sont des raisons ou motifs qui ne sont pas des excuses), elle est un cheminement et non un état, sa réalité concrète est celle d'un travail".

III) CONCLUSION : pas de conclusion... mais à réaliser quand même selon la méthode

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