Le désir

V.0.1 : Ce que je veux montrer : Le caractère bon ou mauvais d'un désir dépend des moyens mis en place pour le réaliser et les conséquences qu'il engendre. 

1. Point de départ : Il semblerait que la nature du désir soit déterminé par son objet. 

2. Déploiement de la question : Cependant ne peut-on pas penser le désir autrement que par son objet ?

3. Ne s'inscrirait-il alors pas dans un mouvement plus ample ?

4. Comment peut-on alors distinguer les bons des mauvais désirs ?

5. Référence et citation : Le recul que prend Hobbes dans le Léviathan lui permet d'affirmer que c'est " Le désir de louange qui dispose les hommes aux actions louables ". 

6. Explication : Effectivement, en tant que nous somme être de passion, le désir se caractérise comme un effort pour se rapprocher de quelque chose.

7. Donc la vie des hommes consiste simplement en une marche en avant, par contiguïté, de désirs en désir, dans un mouvement continuel. 

8. Les désirs ne sont alors ni bon ni mauvais en eux-même puisqu'ils ne sont qu'une partie de cette avancement. 

9. C'est en fait leurs conséquences et les moyens mise en oeuvre pour les réaliser qui le sont, selon leur utilité pour la communauté. 

10. Ainsi, il apparaît que le désir de louange est louable non pas en tant que tel mais parce qu'il elle conditionne celui qui le ressent aux actions admirables

11. Conclusion : La conséquence est donc totalement détaché de l'objet du désir en lui-même. 

Paragraphe

Il semblerait que la nature du désir soit déterminé par son objet. Cependant ne peut-on pas penser le désir autrement que par son objet ? Ne s'inscrirait-il alors pas dans un mouvement plus ample ?Comment peut-on alors distinguer les bons des mauvais désirs ?Le recul que prend Hobbes dans le Léviathan lui permet d'affirmer que c'est " Le désir de louange qui dispose les hommes aux actions louables ". Effectivement, en tant que nous somme être de passion, le désir se caractérise comme un effort pour se rapprocher de quelque chose. Donc la vie des hommes consiste simplement en une marche en avant, par contiguïté, de désirs en désir, dans un mouvement continuel. Les désirs ne sont alors ni bon ni mauvais en eux-même puisqu'ils ne sont qu'une partie de cette avancement. 

C'est en fait leurs conséquences et les moyens mise en oeuvre pour les réaliser qui le sont, selon leur utilité pour la communauté. Ainsi, il apparaît que le désir de louange est louable non pas en tant que tel mais parce qu'il elle conditionne celui qui le ressent aux actions admirables. La conséquence est donc totalement détaché de l'objet du désir en lui-même. 

V.0.2 : Ce que je veux montrer : Il faut un souverain pour réguler le désir

1. Point de départ : Il semblerait que la nature du désir soit déterminé par son objet. 

2. Déploiement

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