Inconscient et conscience
Commentaire d'arrêt : Inconscient et conscience. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar julien564 • 27 Septembre 2021 • Commentaire d'arrêt • 747 Mots (3 Pages) • 377 Vues
Santé humaine et santé des écosystèmes
En quoi la santé des écosystèmes peut-elle influer sur la santé des humains ?
Introduction
Les activités humaines peuvent dégrader les écosystèmes. Les humains sont touchés par les conséquences de ces dégradations, notamment parce que leur santé dépend de celle des écosystèmes.
I – Différents types d’activités humaines susceptibles de favoriser la transmission de maladies infectieuses aux humains
Doc 1
personne décédée du virus Ebola. Ce virus est mortel et se transmet entre être humains. Il est à l‘origine d’une vingtaine d’épidémie
Doc 2
Il y a de fortes probabilités pour que la chauve souris frugivore tropicale soit un réservoir de ce virus. Cette chauve souris peut transmettre le virus à d’autres animaux. S’il s’est transmis à l’homme c’est par la manipulation sans précaution de ces animaux, qui n’avaient plus d’habitats à cause de la déforestation et qui deviennent donc plus proches des humains.
Doc 3
1970 : révolution industrielle ⇒ mondialisation (transports)
Cette courbe nous permet d’observer l’augmentation significative du nombre de maladies infectieuses à caractère épidémique depuis 1950 en Europe. Malgré les énormes progrès dans le domaine médical, les échanges mondiaux ont engendré des risques auxquels on ne s’attendait pas.
Doc 6
Cette mondialisation entraîne une forte augmentation des émissions de gaz à effets de serre, responsables du réchauffement climatique. On voit sur ce doc que le moustique tigre (vecteur du virus Chikungunya) a tendance à se développer plus au nord, dans des régions qui se réchauffent et dans lesquelles le moustique n’était auparavant pas présent. On en déduit que de plus en plus d’hommes seront touchés par cette maladie.
II – Des espèces sauvages qui peuvent contribuer à éviter la transmission de ces maladies
Doc 4 et 5
Certaines espèces sauvages peuvent contribuer à éviter la transmission des maladies infectieuses aux humains (ex opossum : ces petits mammifères marsupiaux présents en Amérique du Nord attirent les tiques puis les mangent en s’épouillant)
Ce graphique nous permet de voir que cet animal empêche à la quasi totalité des tiques d’atteindre la fin de leur stade larvaire. Cela est fortement utile pour les hommes puisque les tiques adultes sont un vecteur de nombreuses maladies (borréliose de Lyme). Il faut donc protéger le milieu de vie de cet animal et donc la biodiversité.
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