Du passage à l'acte, à l'acte de passage

Fiche de lecture :

Du passage à l’acte à l‘acte de passage - (Joseph Rouzel)

L’exigence pulsionnelle est toujours identique (depuis des générations) mais le contexte social est différent, pas très accueillant.

Lorsque le langage n’est pas en place il y a passage à l’acte.

Le langage n’est pas commun à l’ensemble de la société d’où incompréhension, d’où passage à l’acte.

Chez tout être humain il existe une violence fondamentale, c’est la pulsion. (Freud, La méthapsychologie)

La parole n’est pas dans la nature, Nous sommes les seuls êtres à posséder l’appareil à parler.

Tous les animaux communiquent, mais ne se dérobent jamais à leurs instincts. (« les animaux dénaturés », Vercors)

L’homme, lui, ne se contente pas de son instinct, mais il est mû par ses pulsions. Le langage humain, la parole, n’est pas une structure de communication mais de représentation,

Métaphore de Dolto, « La pulsion est comme une source de montagne, sa pente naturelle est de s’écouler pour rejoindre le niveau de la mer. » Pour l’être humain, c’est identique.

C’est le détournement de la pulsion qui donne l’énergie humaine.

La pulsion de mort, est une énergie fisant à atténuer une pulsion. (Une jeune fille se coupe les veines et va le montrer, peut poser la question : Qu’Est-ce qu’une femme ?)

Pulsion de mort chez Freud : jouissance chez Lacan.

La satisfaction complète n’existe pas car le langage vient du manque. Le langage, comme lieu d’expression de la subjectivité. (Freud : « Malaise dans la civilisation ») : Il y a un malaise structural chez l’être humain.

Sublimation : transforme la pulsion en relation humaine acceptable.

Pulsion de vie ???

3 métiers impossibles : éduquer, soigner, gouverner.

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