Le financement des entreprises

DM d’économie

Question 1 : Selon l’étude menée par l’INSEE en 2013, l’évolution du besoin ou de la capacité de financement des entreprises non financée entre 2005 et 2012 a été multiplié par 3, en effet en 2005, le besoin de financement était de 24 ?3 MD d’euros. Jusqu’en 2007 celui ci à augmenter de 6,5 MD d’euros, lors de la crise économique de 2008 le besoin de financement était à son comble 61,7 MD d’euros. Entre 2009 et 2010 le besoin de financement est en déficit de 10 MD d’euros. Malgré ça l’activité économique du pays à été touché car les besoins de financements n’ont jamais été aussi fort qu’entre 2011 et 2012 (en moyenne -60 MD d’euros).  

Question 2 : D’après France Info en 2009, les conséquences de la crise économique sur le financement des entreprises sont multiples. En effet, la crise financière entraine un ralentissement économique du système français, les entreprises sont obligés de recourir à des emprunts ou de faire appel à des investisseurs privée. La conséquence de ce ralentissement économique à une incidence direct sur les ménages, le pouvoir d’achat de ceux-ci ne leur permet plus d’acheter des biens tel qu’une voiture ou un logement. Le manque à gagner est dont conséquent car le volume de l’activité économique est beaucoup plus faible.

Question 3 : D’après l’alternative économique numéro 325 de Juin 2013 de G. Duval, nous explique le rapport entre l’épargne des ménages français et le financement des entreprises,  les grosses entreprises ont recours aux marchés financiers ce qui n’est pas le cas des PME, qui elle opte pour des crédits en banque.

D’orénavant les nouvelles règles appliquées aux banques et de moins prendre des risques sauf que le financement des entreprises est une activité risquée si les ménages français.

Si le ménage français continue d’investir dans l’immobilier plutôt que dans l’activité productive, les entreprises auront plus en plus de mal à obtenir un crédit auprès des banques.

Question 4 : Selon L’INSEE, les différentes phases de l’évolution du taux d’autofinancement des sociétés non financière entre 2000 et 2012 (3eme trimestre).

En 2000, l’épargne brute était de 88%

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