Secteur Agricole Libanais

Le rôle de l'agriculture dans l'économie

Le secteur agricole est principale dans les pays du tiers monde. Il représente normalement une large part du produit intérieur brut et emploie une proportion significative de la population active (de 40 pour cent à 90 pour cent dans la plupart des cas), est une importante source de devises, produit la majeure partie des besoins alimentaires de base et est la seule source de subsistance et de revenus pour plus de la moitié de la population de ces pays. Les liens étroits en amont et en aval qui existent à l'intérieur du secteur rural ainsi qu'avec les autres secteurs de l'économie produisent un revenue..

La plupart de ces pays ne pourront pas vraiment progresser sur la voie de l'expansion économique, de la réduction de la pauvreté s'ils ne valorisent pas la main d'œuvres productives du secteur agricole pour accroître sa contribution au développement économique et social en général. Un système agricole solides et dynamiques sont par conséquent l'un des principaux piliers de la stratégie de croissance économique et de développement. L'agriculture dans les pays du tiers monde ne peut pas continuer à être considérer comme une activité secondaire, négligée dans les investissements.

Aperçu générale de la situation du secteur agricole Libanais.

La mondialisation et la progression de la demande sur les produits alimentaires ont rendu le marché agricole Libanais devant plusieurs "challenge". Ce secteur qui devient chaque année de moins en moins rentable rencontre des problèmes sérieuses tel que des problèmes de production( haut cout de production), de commercialisation (mauvaise qualité, pas de compétitivité),de financement(pas d'aide gouvernementale).

Le secteur agricole est à l'origine de 13 % du produit intérieur brut (PIB) du Liban, et emploie 13 % de la population active du pays. Environ 70 % de la demande libanaise de produits alimentaires sont couverts par des importations.

Le secteur agricole libanais pourrait devenir l'un des plus productifs de la région, mais il est sous-développé et mal géré. Seulement 55 % des terres arables sont exploitées, souvent de façon inefficace .

La valeur ajoutée dans le secteur agricole a connu une nette progression en 2004. Quant aux autres secteurs de production de biens tels que l’industrie et le bâtiment. On notera aussi la très forte progression du secteur des transports et communications due au développement spectaculaire des télécommunications.

Ce secteur qui ne représente pas plus que 5% du PIB reste important et essentiel au Liban, vue son importance en tant que source de nourriture. Ce secteur a besoin d'une véritable réforme et d'application de politique gouvernementale stricte axée sur son aide. Mais malheureusement aucune politique de ce genre n'a était adopté par les autorités Libanaises.

Le rôle de l'agriculture dans l'économie

Le secteur agricole est principale dans les pays du tiers monde. Il représente normalement une large part du produit intérieur brut et emploie une proportion significative de la population active (de 40 pour cent à 90 pour cent dans la plupart des cas), est une importante source de devises, produit la majeure partie des besoins alimentaires de base et est la seule source de subsistance et de revenus pour plus de la moitié de la population de ces pays. Les liens étroits en amont et en aval qui existent à l'intérieur du secteur rural ainsi qu'avec les autres secteurs de l'économie produisent un revenue.

La plupart de ces pays ne pourront pas vraiment progresser sur la voie de l'expansion économique, de la réduction de la pauvreté s'ils ne valorisent pas la main d'œuvres productives du secteur agricole pour accroître sa contribution au développement économique et social en général. Un système agricole solides et dynamiques sont par conséquent l'un des principaux piliers de la stratégie de croissance économique et de développement. L'agriculture dans les pays du tiers monde ne peut pas continuer à être considérer comme une activité secondaire, négligée dans les investissements.

Analyse Pestel

Politique:

La loi du 20 décembre 1951 a régi « l’impôt des terres", qui concerne l'imposition des terres agricoles, les agriculteurs restent imposables sur leur revenu individuelle.

Le gouvernement Libanais n'accorde aucune aide financière a ce secteur mais se contente d'offrir quelques années des engrais agricole. La part réelle du budget accordé à ce secteur reste anonyme, vue que la dernier budget national approuvé par le gouvernement revient à l'année 2005.

Economique:

La situation économique de ce secteur en 2013 demeure fragile. Les exportations agricole ont notamment baissé après la guerre à cause d'une baisse de compétitivité des produits Libanais. Malgré l'accroissement de la population Libanaise, les exportations restent énormément supérieure aux importations. L'incompétitivité du secteur agricole a plusieurs causes principales, Citons: le prix élevé de main d'œuvre, l'inflation au Liban qui a atteint les 6.2% d'après Consultation and Research Institute (CRI) et la hausse international des prix des matières premières, comme les engrais phosphatés qui ont doublé dans les trois dernières années.

Social:

Le secteur des services représente le seul parent de l'économie Libanaise, malgré le poids social que le secteur agricole pouvait représenter.

La guerre a eut des conséquences très négatives surtout dans la partie sud du Liban, dans laquelle l'agriculture représente 70% des revenus des ménages. Seuls 9% du total de la population active Libanaise travaille dans ce secteur marginalisé. Les terres exploités ne représentent pas plus que la moitié de la surface agricole totale. La main d'œuvre principalement concerné par ce genre d'activité et par ce secteur est la main d'œuvre rural, qui est souvent composé de 5 membres et plus. Dans de tel région rural. L'agriculture

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