La grande maison de Mohammed DIB
Fiche de lecture : La grande maison de Mohammed DIB. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar sahar • 4 Janvier 2015 • Fiche de lecture • 538 Mots (3 Pages) • 2 822 Vues
Littérature / LA GRANDE MAISON DE MOHAMMED DIB
LA GRANDE MAISON DE MOHAMMED DIB
Rapports de Stage: LA GRANDE MAISON DE MOHAMMED DIB
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Soumis par: nhyr 29 avril 2013
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Mots: 579 | Pages: 3
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FICHE DE LECTURE: LA GRANDE MAISON DE MOHAMMED DIB
Titre de l'ouvrage:
La Grande Maison, 1952, éditions du Seuil.
Identification de l'œuvre :
178 pages
L 'auteur:
Mohammed Dib, écrivain algérien né en 1920 et mort en 2003.
Le genre et le thème:
Dans l'Algérie coloniale, la pauvreté et la faim consumaient les corps et les esprits. Dans ce roman réaliste, le thème abordé est donc la faim.
Personnage:
Omar, jeune garçon protagoniste de La grande Maison, semble avoir la force et la vivacité de tout enfant qui approche de l’âge adulte tout en gardant une certaine innocence. L'incipit définit l’enfant, figure centrale du roman, par le contexte de misère dans lequel il doit survivre. Omar habite avec sa mère, ses sœurs et sa grand-mère dans un appartement de Dar-Sbitar, la grande maison qui pourrait être considérée comme une ville en soi. Dans un contexte d’extrême pauvreté mais bourdonnant de vie, le lecteur pourra suivre ses aventures.
Statut du narrateur:
Point de vue omniscient
Structure de l'ouvrage:
Douze chapitres
Cadre spatiotemporel:
L'histoire se déroule dans l'Algérie de 1939. Omar et sa famille vivent dans une petite chambre à Dar Sbitar (maison collective).
Résumé:
Omar, que ses dix ans «plaçaient entre les gaillards du cours supérieur et les morveux du cours préparatoire», rançonne quotidiennement ces derniers pour ne pas mourir de faim.
Il vit avec sa mère, Aini, ses deux sœurs et la grand-mère impotente à Dar-Sbitar, la «grande maison», l’habitation du pauvre.
Dar-Sbitar qui avait servi d’hôpital), est une vaste demeure avec patio central où s’entassent plusieurs familles.
Mais Omar passe le plus clair de son temps dans la rue comme tous les enfants aux «membres d’araignées, aux yeux allumés de fièvre», dont regorge Tlemcen.
Un matin, Dar-Sbitar
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