Analyse d'affiche publicitaire la vache qui rit
Commentaire d'oeuvre : Analyse d'affiche publicitaire la vache qui rit. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Mathilde Tepe • 23 Mai 2019 • Commentaire d'oeuvre • 1 116 Mots (5 Pages) • 1 437 Vues
Mathilde Tépé
1A
Journal officiel de la République française. Débats parlementaire.
Chambre des députés: compte rendu in-extenso.
Le journal officiel de la République française ( JORF) est le quotidien officiel de la France, dans lequel sont consignés tous les événements législatifs (lois), réglementaires (arrêtés, décrets), déclarations officielles et publications légales. Il est sous-titré « Lois et décrets » ou « Édition des documents administratifs » selon la nature des textes qu'il contient. Il est édité par la direction de l'information légale et administrative (service du Premier ministre).
Un débat parlementaire est une discussion au sein d’une assemblée politique.
La chambre des députés est le nom anciennement donné à l’assemblée générale.
À travers ce resumé, nous étudierons un extrait du débat parlementaire au sein de l’assemblée générale qui a eu lieu suite à l’application de la loi du 26 décembre 1890 sur l’impôt des affiches murales.
Le document étudié est sous forme de dialogue théâtrale, il est très facile de comprendre que les différents personnages sont en désaccord. En effet lors du vote de l’impôt sur les affiches murales, cet impôt consistait à taxer toute affiche sur taule pour de multiples raisons, le produit de cet impôt avait était mal estimé. Au fil de la lecture de cet extrait nous comprenons de qui la chambre des députés est constituée, d’une part de syndicat venu défendre le droits des ouvriers, ainsi que les représentants des plus grands partis politique (gauche/ droite) et le représentant de l’état (commissaire, commissaire de l’état).
Il s’agit d’un débat interactif, tout au long de cet extrait, les représentants de chaque parti débattront sur l’avenir de l’affiche murale. Durant le débat de nombreux arguments mais aussi de contres arguments ont été soulevés. L’impôt sur les affiches murales avait était voté en 1890, cet impôt consistait à taxer les affiches sur taule car celles-ci persistaient dans le temps tandis que les affiches sur papier non. MM. Lavy et Monsieur Jacques (représentant des ouvriers) souhaitent revenir sur le vote et propose la suppression des impôts sur les affiches murales à partir du 1er janvier 1894.
D’après les représentants des ouvriers, cette loi n’aura apporté uniquement la hausse du chômage et la disparition de l’affiche murale. La première loi appliquée aux affiches murales fût en l’an 6, celle-ci a permis le développement de l’industrie de l’affiche murale. Très vite ces affiches ont été exonérées de cet impôt créant une injustice pour l’industrie de l’affiche papier. En revanche cette injustice avait été réparée en 1852 lors du vote d’un regime spéciale pour les affiches murales. Ce regime consistait à taxer les affiches murales de 50 c à 1 Fr. selon la dimension de l’affiche et c’est en 1890 qu’il y a eu la proposition de remaniement de cette loi : taxer les affiches murales aux chiffres d’habitants de la commune, étant donné que plus il y a d’habitants dans une commune plus la publicité gagnera en visibilité. La différence entre ces deux types d’affiches est importante et ont un effet considérable sur l’économie. En effet, les affiches sur papier sont uniquement collées sur le mur et sont estimées à disparaitre rapidement tandis que les affiches sur bois se conservent dans le temps.
...